Catégorie : Ford

  • Ford Escort Mexico by MST : un mythe ressuscité pour l’ère moderne

    Ford Escort Mexico by MST : un mythe ressuscité pour l’ère moderne

    Il y a des lignes qui traversent les âges. Des silhouettes qui, au premier coup d’œil, réactivent la mémoire collective des passionnés. La Ford Escort Mk1, dans sa variante Mexico, fait partie de ces icônes. Près de 55 ans après sa naissance dans l’euphorie du Londres-Mexico 1970, elle revient sur le devant de la scène grâce au travail d’orfèvre d’un petit artisan gallois : MST Cars. Leurs nouvelles Escort Mk1 et Mk2, prévues respectivement pour 2026 et 2027, incarnent un parfait mélange entre esprit d’époque et mécanique contemporaine.

    Rétro… mais pas nostalgique

    Basée à Pontypool, au sud du Pays de Galles, Motorsport Tools (MST) s’est fait connaître dans le petit monde des Escortistes pour la qualité de ses pièces et répliques. Mais avec cette initiative, le préparateur change d’échelle. Les MST Mk1 et Mk2 Sports ne sont pas des restomods, ni des restaurations sur base ancienne. Ce sont des voitures neuves, montées sur coques neuves produites au Royaume-Uni, avec des renforcements spécifiques inspirés de ceux utilisés dans les Escort Mexico construites à l’époque dans l’usine AVO (Advanced Vehicle Operations) de Ford à South Ockendon.

    L’ADN de la Mexico… dopé à la technologie

    Si le design reste résolument fidèle aux Escort de la grande époque, MST ne s’est pas contenté d’un copier-coller nostalgique. Sous les lignes épurées de la carrosserie « narrow body » (mais avec ailes avant élargies), on retrouve une fiche technique d’aujourd’hui :

    • 2.0 litres atmosphérique, double arbre à cames, alimenté par papillons individuels
    • 180 ch envoyés aux roues arrière via une boîte manuelle 5 rapports
    • Différentiel autobloquant à glissement limité, pour une motricité digne de ce nom
    • Suspensions réglables, freins à 4 pistons à l’avant, jantes RS en 13 pouces

    La recette est simple : légèreté + puissance maîtrisée + châssis affûté = plaisir brut. On imagine sans peine le comportement joueur et agile, dans l’esprit des Escort qui ont brillé en rallye dans les années 1970.

    Finition d’époque, qualité moderne

    Côté look, le classicisme est assumé. Peinture blanche de série, avec les légendaires touches de chrome et la possibilité d’opter pour des teintes vives emblématiques : orange, vert, bleu… comme au bon vieux temps. L’intérieur, s’il n’a pas encore été dévoilé en intégralité, promet lui aussi un cockpit à l’ancienne, avec tout juste ce qu’il faut de modernité pour garantir l’usage sans sacrifier l’ambiance.

    Une série très limitée

    MST ne joue pas la carte de la grande série. Seulement 25 exemplaires seront produits pour chaque version – Mk1 comme Mk2 – avec conduite à droite par défaut (mais possibilité de conversion pour les marchés continentaux). Le tarif annoncé démarre à 74 500 £ HT (environ 87 000 € TTC selon les taxes locales), un prix conséquent, mais justifié par le niveau de finition et le caractère exclusif de l’opération.

    Un hommage mécanique, pas un exercice de style

    Loin de surfer uniquement sur la vague rétro, MST réussit à réconcilier deux époques :

    • Celle où l’automobile était une affaire de sensations – brutes, mécaniques, sans filtre électronique
    • Et celle où la précision artisanale permet de faire revivre ces émotions avec une rigueur d’exécution rarement atteinte à l’époque

    En 2026, cela fera 57 ans que la Ford Escort a remporté le marathon Londres-Mexico, donnant naissance à l’une des déclinaisons les plus aimées de la gamme. Le clin d’œil historique n’est pas fortuit, et le timing est parfait pour réancrer l’Escort Mexico dans l’imaginaire des nouvelles générations de passionnés.

  • Ford Fiesta d’occasion : une citadine polyvalente et pleine de charme

    Ford Fiesta d’occasion : une citadine polyvalente et pleine de charme

    Depuis son lancement en 1976, la Ford Fiesta s’est imposée comme l’une des citadines les plus populaires en Europe. Appréciée pour sa fiabilité, son dynamisme et son excellent rapport qualité-prix, elle séduit autant les jeunes conducteurs que les familles en quête d’un véhicule urbain agile et économique. Aujourd’hui, acheter une Ford Fiesta d’occasion est une excellente alternative pour bénéficier de ces qualités tout en réalisant des économies.

    Un modèle polyvalent et bien équipé

    La Ford Fiesta a su évoluer au fil des générations pour proposer un niveau d’équipement digne des modèles du segment supérieur. Les versions récentes offrent des technologies modernes, comme un écran tactile avec SYNC 3, la connectivité Apple CarPlay et Android Auto, ainsi que des aides à la conduite telles que l’alerte de franchissement de ligne et le régulateur adaptatif.

    Côté motorisations, la Fiesta est disponible en essence, diesel et même en version micro-hybride sur les derniers modèles. Le célèbre moteur EcoBoost 1.0 est particulièrement apprécié pour son équilibre entre performances et sobriété.

    Pourquoi opter pour une Ford Fiesta d’occasion ?

    Acheter une Ford Fiesta d’occasion permet de profiter de son excellent agrément de conduite tout en évitant la décote importante des modèles neufs. En effet, dès la première année, une voiture neuve peut perdre jusqu’à 25 % de sa valeur. Avec un modèle d’occasion récent, vous accédez à un véhicule bien équipé à un tarif plus abordable.

    De plus, la Ford Fiesta jouit d’une bonne réputation en termes de fiabilité. Les versions produites après 2017, issues de la septième génération, affichent une finition en nette amélioration et une meilleure insonorisation, rendant les trajets encore plus agréables.

    Quelle version choisir ?

    Le choix d’une Ford Fiesta d’occasion dépend de vos besoins. Pour une utilisation urbaine, le moteur 1.0 EcoBoost 100 ch est un excellent compromis entre puissance et économie de carburant. Si vous cherchez une version plus dynamique, la ST-Line propose un design sportif et un châssis affûté. Enfin, pour les amateurs de sensations fortes, la Fiesta ST, avec son moteur 1.5 EcoBoost de 200 ch, offre des performances impressionnantes tout en restant relativement accessible sur le marché de l’occasion.

    Que vous recherchiez une citadine économique, une voiture équipée des dernières technologies ou un modèle sportif, la Ford Fiesta d’occasion répond à de nombreux critères. Grâce à son excellent rapport qualité-prix et à sa large gamme de finitions et motorisations, elle reste une valeur sûre sur le marché de l’occasion.

  • Ford annonce son retour au Mans en 2027 avec un programme officiel en Hypercar

    Ford annonce son retour au Mans en 2027 avec un programme officiel en Hypercar

    Ford Performance a confirmé jeudi soir ce que de nombreuses rumeurs laissaient entendre depuis plusieurs mois : la marque américaine effectuera son grand retour dans le Championnat du Monde d’Endurance FIA (WEC) en 2027, avec un programme officiel en catégorie Hypercar. Ce retour s’accompagnera d’une participation très attendue aux 24 Heures du Mans, là où Ford a forgé une partie de sa légende.

    Un passé glorieux à honorer

    Le Mans occupe une place unique dans l’histoire de Ford. Entre 1966 et 1969, la marque à l’ovale bleu a dominé la classique sarthoise en remportant quatre victoires consécutives au classement général avec la mythique GT40, infligeant un camouflet historique à Ferrari. Ce duel épique a même inspiré le film « Le Mans 66 » (« Ford v Ferrari »), renforçant le mythe autour de cette période.

    En 2016, Ford a renoué avec la victoire au Mans en s’imposant dans la catégorie GTE Pro grâce à la Ford GT, marquant le 50e anniversaire de son triomphe de 1966. Depuis, la marque a poursuivi son engagement en endurance via des équipes clientes, notamment avec la Mustang GT3 exploitée par Proton Competition.

    Objectif : victoire au classement général

    Avec ce nouveau programme Hypercar, Ford vise clairement le sommet : la victoire au classement général des 24 Heures du Mans. L’entreprise a confirmé qu’elle s’alignera avec un prototypes LMDh développé par Ford Performance. Ce choix permettra à la marque de concourir non seulement en WEC mais aussi, potentiellement, dans d’autres championnats comme l’IMSA, même si aucune annonce officielle n’a été faite à ce sujet.

    Bill Ford, président de Ford Motor Company, a déclaré : « Nous entrons dans une nouvelle ère pour Ford, tant sur route qu’en compétition. Quand nous courons, c’est pour gagner. Le Mans est une course emblématique pour nous : c’est là que nous avons défié Ferrari et remporté la victoire dans les années 60, puis choqué le monde en réitérant l’exploit 50 ans plus tard. Je suis ravi que nous revenions pour concourir au plus haut niveau de l’endurance. Nous sommes prêts à relever le défi et à « go like hell » de nouveau. »

    Un contexte hypercompétitif

    Ford rejoint ainsi une grille Hypercar déjà très relevée, avec des constructeurs comme Toyota, Ferrari, Porsche, Peugeot, BMW, et Cadillac. La marque américaine pourra capitaliser sur son expertise en compétition, mais devra affronter une concurrence redoutable dans une catégorie en plein essor.

    Ce retour de Ford au plus haut niveau de l’endurance mondiale promet de raviver des rivalités historiques et d’écrire de nouveaux chapitres passionnants de l’histoire des 24 Heures du Mans. Les passionnés peuvent déjà marquer 2027 sur leur calendrier.

  • Le Ford RS200 fait son grand retour

    Le Ford RS200 fait son grand retour

    Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de Boreham Motorworks, mais vous connaissez sûrement le Ford RS200, cette voiture de rallye à moteur central qui a marqué l’histoire du Groupe B. Boreham est une entreprise d’ingénierie spécialisée dans les voitures classiques de Ford, et pour célébrer le 40e anniversaire du RS200, l’entreprise produit une série limitée de nouveaux exemplaires, homologués pour la route. Ce projet a vu le jour grâce à un accord de licence entre Boreham et Ford, ce qui permettra également à l’entreprise de reproduire d’autres modèles classiques, y compris la Mk1 Escort.

    Les détails sont encore rares, mais il est prévu que le RS200 soit une réinterprétation de l’original plutôt qu’une simple continuation. Boreham décrit cette nouvelle version comme une construction entièrement nouvelle, conçue de A à Z. Quant à l’Escort, elle sera reproduite fidèlement à l’originale et portera des numéros de série de continuation.

    Une légende du rallye revisitée
    Le RS200 original était une voiture de rallye conçue spécifiquement pour le Groupe B, avec une transmission intégrale et un moteur turbo quatre cylindres monté en position centrale. La version homologuée pour la route développait 246 chevaux, tandis que les versions de compétition pouvaient atteindre jusqu’à 444 chevaux. Le châssis unique en aluminium et les cadres tubulaires en acier dissimulaient une carrosserie composite distincte. Seulement 200 exemplaires légaux pour la route avaient été produits pour satisfaire les exigences de l’homologation. Malgré son coût élevé de 49 995 £ en 1985, la qualité des voitures homologuées était réputée inégale.

    Des améliorations attendues
    Les reproductions de Boreham devraient être nettement mieux construites que les originaux, mais avec un prix de vente probablement bien plus élevé. Chaque création de Boreham sera strictement limitée en nombre et distribuée directement aux clients par l’entreprise elle-même. La continuation de la Mk1 Escort fera ses débuts publics plus tard cette année, et les inscriptions sont déjà ouvertes pour réserver un créneau de production pour l’Escort ou le RS200.

    Un avenir prometteur pour les classiques de Ford
    Boreham Motorworks prévoit d’ajouter cinq autres modèles classiques de Ford à son catalogue dans un avenir proche. Cette initiative reflète une tendance croissante dans l’industrie automobile, où les voitures classiques sont réinterprétées et reproduites avec les technologies modernes tout en conservant l’essence des originaux. Ces véhicules ne sont pas seulement des hommages aux icônes du passé, mais ils offrent également une expérience de conduite unique, mariant le charme vintage avec les performances et la fiabilité d’aujourd’hui.

    Le retour du Ford RS200 grâce à Boreham Motorworks est une excellente nouvelle pour les amateurs de voitures classiques et de rallye. Ce projet démontre non seulement le pouvoir de l’ingénierie moderne à revitaliser des légendes du passé, mais il souligne également la passion continue pour les véhicules qui ont marqué l’histoire de l’automobile. Avec des productions limitées et des constructions méticuleusement soignées, ces voitures sont destinées à devenir des pièces de collection très recherchées.

    Le marché des voitures classiques et des reproductions modernes continue de croître, et des projets comme celui de Boreham Motorworks montrent que les légendes du passé peuvent encore avoir un avenir brillant. Le Ford RS200 est une icône intemporelle, et son retour est un témoignage de l’attrait durable de ces voitures mythiques. Boreham Motorworks a sans doute frappé fort avec cette réinterprétation du RS200, et nous attendons avec impatience de voir ce que l’avenir nous réserve pour d’autres modèles classiques de Ford.

  • Avec Romain Dumas, un Ford Transit va plus vite qu’une AMG débridée !

    Avec Romain Dumas, un Ford Transit va plus vite qu’une AMG débridée !

    Lorsque l’on vous dit que Ford cherche à battre le record du tour sur le circuit automobile le plus redoutable d’Australie, le mont Panorama, votre esprit se remplit d’images d’une Mustang de course élégante de style GT3. Pas d’un énorme fourgon en forme de brique.

    C’est pourquoi il faut un moment pour assimiler le colosse hérissé de déflecteurs, franchement immense, qu’est le Supervan 4.2. Car bien qu’il s’agisse indéniablement d’un fourgon – la carrosserie est issue d’un E-Transit – il s’agit aussi incontestablement d’un prototype de course pur et dur. Il est équipé de pneus slick, d’un spoiler avant béant, d’un habitacle dépouillé et habillé de carbone, et d’une carrosserie aérodynamique ornée d’un spoiler arrière si énorme qu’il rivalise même avec la démente Suzuki Escudo Pikes Peak en termes de taille.

    « C’est aussi de loin la voiture de course électrique la plus puissante au monde », déclare Michael Sakowicz, le PDG du partenaire d’ingénierie de Ford, STARD.

    Grâce à quatre moteurs électriques, le Supervan peut produire jusqu’à 1500 kW (2000 ch) et 4000 Nm, ce qui devrait constituer un avantage clé sur un circuit aussi gourmand en puissance que Bathurst. Étrangement, cependant, ces énormes réserves de puissance se révèlent être à la fois un atout et un handicap.

    « En ce moment, nous essayons d’avoir un peu moins de puissance à l’avant car nous faisons patiner l’essieu avant sur les crêtes », explique le pilote du Supervan, la légende du Mans Romain Dumas. « C’est excitant, je vous le dis. Vous devez avoir les yeux grands ouverts ! »

    Maîtriser le patinage des roues sur la section en montagnes russes du Mont Panorama est juste l’un des problèmes que Ford essaie de résoudre. Un transpondeur défaillant rend difficile l’enregistrement d’un temps au tour précis – une exigence clé lors d’une tentative de record. Dumas n’est également pas satisfait de la direction du Supervan, qui se bloque sous charge. Et il est désireux de peaufiner le système de freinage par régénération capable de renvoyer jusqu’à 600 kW dans la batterie. Le toit du fourgon doit également être renforcé. En bas de la ligne droite de Conrod à Bathurst, le toit claque de manière alarmante alors que Dumas approche des 330 km/h. En comparaison, une Supercar V8 parvient à peine à atteindre les 300 km/h au même endroit.

    Cependant, aucun de ces problèmes n’est inattendu. Bien que le Supervan ne soit pas exactement nouveau – cette version a fait ses débuts en 2022 – c’est la première fois que Ford le fait rouler à pleine vitesse sur un circuit. La dernière sortie compétitive du fourgon était à Pikes Peak, où Dumas a terminé deuxième au général.

    « C’est un défi complètement différent », explique Dumas. « On ne peut pas comparer Pikes Peak à ici car vous avez également une grande section en descente et nous n’avons jamais essayé la voiture avec une aussi longue ligne droite. »

    Un changement clé pour Bathurst a été d’affiner le package aérodynamique, capable de générer beaucoup plus d’appui. « Si nous utilisions le package Pikes Peak ici, nous exploserions simplement les pneus », a déclaré un initié de Ford. Les chiffres de pointe restent néanmoins énormes. À 320 km/h, le Supervan génère plus d’une tonne de grip aérodynamique autour de Bathurst. Sachant qu’ils auraient besoin de temps pour régler la voiture, Ford s’est donné deux chances de battre le record. Le plan est de réaliser des démonstrations à la fois lors des Bathurst 12 Heures et des Bathurst 500 au cours de week-ends successifs.

    Les 12 Heures sont traités comme des séances d’essais, la tentative de record étant prévue pour la semaine suivantes. « Chaque fois que nous sortons, nous allons un peu plus vite », déclare Dumas. « Nous apprenons tout le temps. »

    Les records du tour sont une affaire amusante à Bathurst. Techniquement, un record officiel du tour doit avoir lieu lors d’une course, ce qui signifie que le record que Ford vise est un repère non officiel. Et en ce qui concerne la vitesse absolue, le tour le plus rapide jamais enregistré à Bathurst a été réalisé par Jenson Button, qui a bouclé le circuit de 6,2 km en 1:48.8 au volant d’une McLaren F1.

    Sagement, Ford ne tente pas de battre le temps de Button. Au lieu de cela, elle vise à devenir le véhicule à « roues fermées » le plus rapide à Bathurst. Cependant, elle n’est pas la seule. AMG a également tenté le record lors du week-end des 12 Heures et a utilisé une voiture GT3 débridée pour réinitialiser le repère à 1:56.606. Jusqu’à présent, le meilleur temps de Dumas est d’environ deux minutes.

    Avec du temps à trouver, Ford utilise pleinement la semaine entre les 12 Heures et les Bathurst 500. La réparation de la direction est considérée comme « mission critique » et l’équipe du Supervan commence à exploiter les ressources mondiales de Ford Performance. Les données sont analysées par l’équipe d’ingénierie de Ford lors d’une manche du WRC en Suède avant d’être envoyées à une autre équipe en Autriche pour concevoir un tout nouveau système de direction assistée électrique.

    « Immédiatement après cela, nous avons envoyé une personne d’Autriche pour apporter rapidement des pièces fabriquées ici », déclare Sriram Pakkam, l’homme en charge des démonstrateurs EV de Ford Performance et qui sera bientôt responsable de l’implication de Ford en Formule 1 en tant que partenaire de Red Bull Racing. « Nous avons également envoyé une personne au Japon pour obtenir un nouveau moteur de direction que nous avions spécifié. » Dick Johnson Racing a également été appelé à l’aide et a usiné de nouvelles pièces pour le Supervan.

    Une nouvelle cartographie de puissance a également été installée pour permettre à Dumas de passer de la puissance maximale dans les lignes droites à une puissance plus gérable de 895 kW (un peu moins de 1300 chevaux) dans la montée de la montagne.

    « Ce n’est pas la même chose que de dire à Romain d’utiliser la moitié de l’accélérateur dans cette section », explique Pakkam. « La linéarité d’une cartographie de puissance affecte la dynamique. »

    Les changements produisent des résultats immédiats. Dans sa dernière tentative de record, Dumas arrive à un dixième du temps de l’AMG. Sa dernière course, avec des pneus mediums usés, lui permet de battre le record de trois dixièmes avec un temps de 1:56.28. Pas mal pour un fourgon de 1800 kg.

    Alors, quelle est la sensation de piloter un record aussi incongru ?

    « Vous êtes assis très haut et droit car c’est un Transit, pas un prototype ou une voiture GT3 », explique Dumas. « Et le centre de gravité est plus haut et c’est très large, donc la route semble très étroite. Mais nous avons beaucoup d’appui aérodynamique donc dans un virage rapide, c’est vraiment rapide. »

    Tout aussi important, des projets comme le Supervan permettent aux équipes d’ingénierie de Ford la liberté d’innover et de tester des idées qu’elles ne pourraient autrement pas.

    « Le plaisir de travailler sur eux, c’est qu’il n’y a pas de règles », explique Pakkam. « La physique est votre seule limite et c’est très gratifiant – pas seulement pour moi mais pour tous les ingénieurs en dynamique des véhicules et les spécialistes du groupe motopropulseur. Cela leur permet de faire travailler leurs muscles créatifs d’une manière qu’ils ne feraient jamais autrement car ils sont liés par des règles. »

  • Ford Explorer EV : l’autre Ford sur base de Volkswagen

    Ford Explorer EV : l’autre Ford sur base de Volkswagen

    Ford lance son Explorer EV sur le marché européen, basé sur la plateforme MEB de Volkswagen, partagée notamment avec l’ID.4. Le Ford Explorer EV offre une autonomie maximale de plus de 600 kilomètres sur le cycle WLTP et est proposé en versions propulsion et transmission intégrale.

    Ce modèle exclusif à l’Europe est un peu plus petit que l’ID.4 de Volkswagen ainsi que le Mustang Mach-E, et a été conçu spécifiquement pour répondre aux exigences du marché européen. Mais il ne s’agit pas d’un Volkswagen ID.4 rebadgé.

    En s’associant à Wolfsburg sur ce projet, Ford Europe a opté pour une empreinte compacte et un design extérieur assez distinct du Mustang Mach-E. Et il s’agit strictement d’un modèle à cinq places, avec des porte-à-faux courts plus adaptés aux villes européennes.

    Dans sa version à moteur unique, l’Explorer dispose d’un moteur de 282 chevaux à l’arrière alimenté par une batterie de 77 kWh – des spécifications qui devraient être assez familières à ceux qui possèdent un ID.4. Cette version est en fait homologuée à plus de 600 kilomètres sur le cycle WLTP, ce qui semble être une autonomie massive sur le papier pour un véhicule électrique de cette taille.

    Ford a mis en valeur les capacités du nouveau SUV électrique en faisant en sorte que l’aventurière britannique Lexie Alford traverse le monde dans plusieurs Explorer électriques, parcourant près de 18 640 kilomètres en visitant 27 pays.

    Ayant terminé le voyage cette semaine, Alford est devenue la première personne à faire le tour du monde dans un véhicule électrique, a noté le constructeur automobile.

    « Le voyage de Lexie a été le test ultime pour notre nouveau Ford Explorer, affrontant tous les types de conditions météorologiques et routières, et faisant face à presque tous les scénarios de charge », a déclaré Martin Sander, directeur général de Ford Model e Europe.

    Une version à double moteur de l’Explorer EV est également au menu, avec deux moteurs produisant une puissance combinée de 335 chevaux, associés à une batterie légèrement plus grande de 79 kWh. Et oui, c’est également la recette de l’ID.4 de Volkswagen version GTX.

    Un troisième modèle sera également proposé plus tard, associé à une batterie plus petite de 52 kWh, et il sera le modèle d’entrée de gamme de la gamme.

    Le tarif de base est affiché à 46 900 euros.

    Ford a prévu deux crossovers électriques basés sur la plateforme MEB, tous deux pour l’Europe. Cette collaboration avec VW n’est donc pas tout à fait terminée.

  • La fin de la Fiesta

    La fin de la Fiesta

    Après 47 ans et huit générations, la dernière Ford Fiesta sortira de la chaîne de production le 7 juillet, marquant la fin d’une ère pour les citadines. La décision de supprimer la Fiesta avait été prise par Ford à la fin de l’année dernière, car la marque avait besoin d’espace dans l’usine pour produire le prochain SUV électrique Ford Explorer.

    Selon Martin Sander, directeur général de Ford Model E Europe, l’usine Fiesta de Cologne, en Allemagne, sera transformée en une usine entièrement électrique à batterie. Cette décision fait partie de l’engagement de Ford envers les véhicules électriques et du plan de l’entreprise de ne vendre que des véhicules électriques en Europe à partir de 2030. La décision d’arrêter la production de Fiesta était nécessaire pour faire place à la construction de nouvelles voitures électriques.

    Les deux dernières Fiesta produites resteront chez Ford. L’un rejoindra la flotte patrimoniale internationale de l’entreprise à l’usine de Cologne, tandis que l’autre sera ajouté à la flotte patrimoniale britannique. Ces véhicules serviront de rappel de l’héritage de la Fiesta et de son impact sur l’industrie automobile.

    La Ford Fiesta est un incontournable de la liste annuelle des 10 voitures les plus vendues dans plusieurs pays, notamment le Royaume-Uni, depuis son lancement en 1976. Elle y a même occupé la première place entre 2009 et 2020. Cependant, en 2021, la Fiesta est sortie du top 10 en raison de l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les chaînes d’approvisionnement. La pénurie de semi-conducteurs a créé un arriéré de six mois pour les citadines, ce qui a conduit Ford à suspendre les commandes de Fiesta en juin 2022.

    Bien que la Fiesta ne soit plus dans le top 10 des meilleures ventes, elle reste un choix populaire sur le marché des voitures d’occasion. Il continue d’être une option fiable et abordable pour de nombreux acheteurs.

    Le crossover Puma a effectivement remplacé la Fiesta dans la gamme Ford et a connu son propre succès. C’était le best-seller de la marque au Royaume-Uni en 2021 et le quatrième best-seller du pays en 2022. La popularité du Puma montre la capacité de Ford à s’adapter à l’évolution des demandes du marché tout en offrant des véhicules de qualité.

    La Fiesta n’est pas le seul modèle Ford à être supprimé alors que la marque se prépare à une électrification à grande échelle. Les monospaces S-Max et Galaxy ont cessé leur production en avril 2023, et la berline Focus devrait emboîter le pas en 2025. Ford se concentre désormais sur sa division Ford Model E, qui vise à vendre 600 000 véhicules électriques par an d’ici 2026.

    L’entreprise a récemment ouvert sa première usine neutre en carbone, le Cologne EV Centre, qui jouera un rôle crucial dans la production de véhicules électriques. Cette installation représente l’engagement de Ford envers la durabilité et la réduction de son empreinte carbone.

    Alors que l’industrie automobile continue de se tourner vers les véhicules électriques, Ford se positionne comme un leader sur le marché des véhicules électriques. Avec ses objectifs ambitieux et son dévouement à l’innovation, la marque est sur le point d’avoir un impact significatif dans les années à venir.

    La fin de la production de la Ford Fiesta marque la fin d’une époque pour cette citadine iconique. Bien qu’elle ne soit plus en production, l’héritage de la Fiesta perdurera grâce à son inclusion dans les flottes patrimoniales de Ford. Alors que Ford se concentre sur les véhicules électriques, il est clair que la marque s’engage à rester à la pointe de l’innovation automobile. L’avenir s’annonce prometteur pour Ford, qui adopte l’électrification et continue de fournir des véhicules de qualité aux consommateurs.

  • Malus 2023 : les taxes qui dépassent les bornes

    Malus 2023 : les taxes qui dépassent les bornes

    Il y a des choses immuables. Le 1er janvier, je suis devant la télévision pour suivre – au moins d’un œil et d’une oreille – le concert du Nouvel An à Vienne. Je me pensais vieux, différent… Jusqu’à ce que je me rende compte que ce rituel était largement partagé (par des gens souvent un peu vieux aussi) et que ce même programme culminait à 50 millions de téléspectateurs (dans le monde) chaque année !

    Pour lancer 2023, j’ai trouvé le récital un peu ennuyant. Est-ce que c’est moi qui deviens de plus en plus un vieil agri (parmi les vieux) ou est-ce que c’était moins festif, qu’il y avait moins de communication entre l’orchestre et le public ? Toujours est-il que j’ai de moins en moins envie d’être celui qui joue du triangle. Après tout, qui suis-je pour envisager de jouer au cœur de ce qui est régulièrement présenté comme le plus grand orchestre du monde. Et est-ce que l’ambiance au sein du groupe est aussi incroyable que l’on puisse le penser ? J’imagine que tout se passe en allemand, avec d’interminables répétitions. Et si c’est vraiment le plus grand orchestre du monde, le niveau d’exigence doit être telle que la recherche de la perfection ne doit pouvoir convenir qu’aux meilleurs. Imaginez que celui qui s’occupe du triangle se manque durant la représentation ? Moi qui n’ai le niveau que du pianiste du restaurant de La Cité de la Peur…

    Le 1er janvier, ce n’est pas que le Concert de l’Orchestre Philharmonique de Vienne, c’est aussi l’arrivée de nouvelles taxes pour les Français et plus précisément les automobilistes français. Et là, je me sens vraiment davantage concerné.

    C’est un marronnier. Régulièrement, vous voyez passer des articles faisant état de taxes mirobolantes sur des voitures de luxe à Singapour… Mais ne vous trompez-pas : l’Europe – et la France en particulier – impose aussi des taxes excessives sur les modèles neufs.

    Dès ce 1er janvier 2023, la taxe malus sur les véhicules polluants s’applique à partir de 123 grammes de CO2 par kilomètre. Cette donnée est connue lors de l’homologation en France de chaque véhicule. Elle repose sur un cycle WLTP durant lequel les seules émissions de CO2 sont prises en compte. Dans cette configuration, l’énergie qui provient du Diesel est donc significativement favorisée par rapport à celle qui vient de l’essence et l’électricité est forcément à zéro gramme de CO2.

    En 2022, la première taxe de 50 euros était infligée à partir de 128 grammes de CO2 par kilomètre. Désormais, il faudra payer dès 123 grammes et la douloureuse passe de 50 à 170 euros à 128 grammes. L’augmentation est graduelle et dépasse les plafonds de l’an passé. Auparavant bloqué à 40 000 euros dès 224 grammes, l’impôt est supérieur dès 219 grammes et vient culminer à 50 000 euros à partir de 226 grammes.

    Pour rappel, lors de la mise en place du bonus/malus en 2008, tous les modèles qui émettaient moins de 130 grammes de CO2 par kilomètre bénéficiaient d’un bonus d’au moins 200 euros et le premier malus n’était appliqué qu’à partir de 161 grammes. Pire encore, c’était selon le cycle d’homologation NEDC bien plus avantageux…

    Nous aurons l’occasion de disserter sur le sujet des ZFE durant l’année, mais vous avez pu bénéficier d’un bonus écologique en 2008 pour l’achat d’une voiture qui aurait dû être interdite de circulation dans une grande partie de l’Île-de-France dès 2022 (mesure reportée sine die).

    Qu’est-ce que 50 000 euros pour des voitures qui coûtent des millions ? D’accord, mais cette taxe maximale touche aussi des modèles vendus moins de 60 000 euros TTC. Heureusement, dans sa grande mansuétude, l’Etat a plafonné le malus à l’équivalent de 50 % du tarif TTC du véhicule.

    En ce début d’année 2023, le record de taxes appartient à la Ford Mustang GT. Affichée 58 400 euros TTC, la sportive de Ford émet officiellement 256 grammes de CO2 par kilomètre.

    Notez que la Ford Mustang GT fait également l’objet d’une taxe supplémentaire sur la masse en ordre de marche de 320 euros en affichant 1832 kg sur la balance.

    Enfin, car ce n’est jamais terminé… Vous devrez aussi payer une taxe régionale (encore quelques centaines d’euros selon votre lieu de résidence et proportionnellement au nombre de chevaux administratifs du véhicule, 33 pour la Mustang), d’une taxe fixe de 11 euros pour la délivrance du certificat d’immatriculation et d’une redevance d’acheminement de 2,76 euros pour l’envoi du fameux certificat.

    Résultat ? Si vous désirez vous acheter une Ford Mustang GT, vous verserez 89 022,76 euros dont 9 733,33 euros de TVA et 30 622,76 euros d’autres taxes.

    Etablissons ça dans l’ordre :

    48 666,67 euros HT (pour Ford)
    40 356,09 euros de taxes (pour l’Etat français)

    Soit un taux de taxes de 83 % !

    Moins de 50 000 euros pour une Mustang et son V8, mais 89 022,76 euros à payer. Et nous entendons tous que les voitures deviennent trop chères. 83 % de taxes.

    Le prix à payer étant différent selon le département de résidence à cause de la taxe régionale, le département du Nord a été choisi, car il est le plus peuplé de France…

    Toutes ces données ont été collectées sur le site de Ford France (tarif et données valables au 1er janvier 2023) et sur le site Service-Public.fr pour le calcul des différentes taxes.

    Sachez également qu’à quelques euros près, le record aurait pu revenir à la Cupra Formentor VZ5, également facturée à moins de 50 000 euros HT, mais donc la facture totale dépassera les 90 000 euros en prenant en compte toutes les taxes.

    Bonne année !

  • Ford Mustang et Art Car #lecurieFordMustang

    Ford Mustang et Art Car #lecurieFordMustang

    A l’occasion de lancement français de le nouvelle Ford Mustang, a été lancé le projet L’Ecurie Ford Mustang, ayant pour but de présenter la Mustang sous son meilleur jour, du côté artistique. Cinq artistes contemporains français, Thomas Lelu, Mathieu César, Alexandre Vauthier, l’Encrerie et Noé Duchaufour Lawrance, ont donc oeuvré sur la plus célèbre des Ford. Wrappées, colorées, noires ou blanches, noires et blanches pour un reveal qui eut lieu au sein des bâtiments de la prestigieuse Garde Républicaine, sous les drapeaux français et aussi américains. Ne soyons pas trop franchouillard.

  • Essai Ford C-MAX : Forward alert !

    Essai Ford C-MAX : Forward alert !

    Ce qu’il y a de bien avec l’été, c’est que la moitié (au moins !) des entreprises françaises tournent au ralenti. Ça donne l’occasion de partir loin… Jeunes, on quittait le continent. Maintenant, on traverse la France en Ford C-MAX !

    J’ai échappé à la transhumance des juilletistes à l’aller, pour préférer l’avion afin de rejoindre le reste de la famille avec quelques jours de retard. Mais il a bien fallu rentrer… Me voilà donc au volant d’une magnifique Ford C-MAX « Rouge Rush » pour un joli programme de 720 kilomètres.

    Au début, j’ai cru que l’on m’avait proposé une Aston Martin. La ressemblance (la calandre, hein !) reste bien dans les têtes (au moins la mienne), même si les deux marques ne roulent plus ensemble depuis 2007. Disons que David Richards sait qu’il n’est jamais bon de se frotter à un grand constructeur…

    ford-c-max-aston-martin

    La journée se passe donc au volant d’une Ford C-MAX en finition Titanum, avec le moteur 2,0 litres TDCi 150 chevaux et la boîte automatique Powershift à six rapports.

    Bon, 700 kilomètres sur autoroute ne suffisent pas à faire un le tour de la question. De ce que j’ai pu en voir, je peux vous assurer que l’on peut mettre beaucoup trop de choses dans le coffre, dont un siège enfant (un second !), une trottinette, un télescope (j’ai vu Venus et Jupiter !), plein de sacs et du saucisson…

    Mais l’intérêt était ailleurs. Car traverser la France en 2015 ne ressemble plus à l’aventure passée, même de la décennie précédente. Avec la moindre C-MAX, régulateur adaptatif à 130 km/h et alerte de franchissement de ligne et tout devient plus reposant.

    Pourtant, les pièges existent toujours !

    Le régulateur adaptatif permet de conserver de larges distances de sécurité, dont on pouvait un peu trop se passer avec un régulateur d’ancienne génération. Et toutes ces nouvelles assistances à la conduite ne font que souligner une vérité valable depuis des années : la route reste dangereuse.

    En un peu plus de 700 kilomètres, l’avertisseur « Forward Alert ! » qui annonce un danger imminent juste devant le capot a sonné, clignoté et agit sur le freinage à cinq reprises. Cinq fois, un autre conducteur a choisi de se donner la priorité en actionnant son clignotant au moment de changer de voie. Panique électronique dans l’habitacle de la Ford.

    Inutile de dire que je ne me sens pas meilleur que les autres… J’ai eu l’impression d’infliger la même chose à une RCZ vers la fin du trajet (pardon, pardon) et je l’ai peut-être fait d’autres fois sans même m’en rendre compte (autant que les autres).

    Vivement la voiture autonome pour pouvoir avaler l’A20 à 200 km/h ! De quoi prendre le temps de tourner les pages du nouveau numéro d’Auto Plus et de ses sujets consacrées aux radars (promis, c’est la dernière fois que je les lis) et d’écouter Sam Brown criez Stop!. Amusant, ce morceau est sorti lorsque j’ai commencé à me passionner pour l’automobile en lisant, justement, Auto Plus. Dommage que l’on ne sente plus la même envie en regardant la Une du numéro de cette semaine : « Comment tirer le meilleur prix de votre auto », « Installez le wi-fi dans votre voiture », « Parkings des plages Où les tarifs flambent-ils en été ? », « Police de la route Quelles brigades sont les championnes des PV ». Si cette stratégie leur permet de survivre, je ne peux que l’accepter, voire l’encourager. Mais bon…

  • Publicité : Ford buzze avec Le Mans

    Publicité : Ford buzze avec Le Mans

    La folie des 24 Heures du Mans m’avait empêché de suivre pleinement la communication de Ford au sujet de son retour en LM GTE Pro la saison prochaine. Ça n’a pas été le cas de tout le monde puisque la marque a enregistré près d’un million de vues sur sa vidéo de présentation diffusée sur Youtube.

    Chaque mois, le site de partages de vidéos établit un classement des vidéos les plus regardées via sa plateforme. En juin – et dans la catégorie publicités – celle de Ford annonçant le retour au Mans s’est classée dans le top 10 avec 887 091 vues.

    Un peu de patrimoine (il y a un livre à écrire sur l’aventure Ford au Mans dans les années 1960 !), la victoire de 1966… Et beaucoup de France !

    De la voix bien française, des rues de Paris et des routes bien fictives… Le Mans n’est plus qu’à 50 kilomètres. Rendez-vous donc en juin prochain. (Et puis Chip Ganassi au Mans, c’est l’arrivée d’un autre monstre sacré du sport auto !)

  • La Ford Mustang volante

    La Ford Mustang volante

    Beaucoup ont rêvé de faire voler les voitures… Certains ont réussi : voici l’exemple d’une automobile volante, qui n’a jamais quitté le sol ! Et quoi de mieux que de faire ça avec une Ford Mustang ?