Auteur/autrice : Rédaction

  • Jeremy Clarkson se venge de la BBC !

    Jeremy Clarkson se venge de la BBC !

    Ecarté de Top Gear, Jeremy Clarkson n’est pas prêt de faire son retour sur les antennes de la BBC. L’animateur vedette commence à faire payer la décision prise par son ancien employeur.

    Non, Jeremy Clarkson ne sera plus sur les écrans dans Top Gear… Et non, l’animateur ne sera pas non plus sur le plateau du jeu télévisé « Have I got news for you ».

    La star mondiale devait animer ce jeu dès la seconde quinzaine du mois d’avril. Il vient d’annoncer qu’il ne se serait pas au rendez-vous.

    La BBC a donc dû communiquer : « Le contrat de Jeremy n’a pas été renouvelé pour Top Gear, mais il n’est pas banni des antennes de la BBC. »

    Le producteur du jeu Have I got news for you a assuré qu’il espérait convaincre Jeremy Clarkson de revenir sur sa décision.

    Et concernant l’altercation qui a mené à son éviction de Top Gear, la police a affirmé qu’aucune enquête n’avait été ouverte.

  • Publicité : Volkswagen Golf GTE

    Publicité : Volkswagen Golf GTE

    S’il y a bien une marque qui s’est illustrée par des créations originales pour promouvoir ses produits, c’est Volkswagen. A travers l’histoire, les publicitaires de la marque ont multiplié les jolis coups. Pour ce mois d’avril, c’est la Golf GTE qui est mise en avant.

    Voilà qui change un peu de l’habituelle rengaine des offres de reprises de trop nombreuses publicités de l’industrie automobile actuelle. Tant que l’objet des pubs restera les tarifs, les marques sombreront dans une guerre des prix.

    Lorsque le produit prend l’ascendant sur le prix, le spot devient immédiatement beaucoup plus intéressant. En voici un exemple avec Volkswagen…

    Le film est travaillé à la façon d’un court-métrage. Il y a un scénario, une histoire, une recherche photographique. La Golf GTE n’est pourtant pas un modèle si révolutionnaire ; l’hybride rechargeable est devenu une solution très actuelle.

    La puissance cumulée est équivalente à 204 chevaux avec une homologation à 1,5 litre / 100 kilomètres et 35 grammes de CO2 rejetés par kilomètre parcouru. L’autonomie est annoncée à 50 kilomètres en électrique et à 939 kilomètres cumulés.


    (Mais que j’ai détesté la chute… J’espère que le personnage principal a mis une copie des plans sur une clé USB !)

  • Une passion commune

    Une passion commune

    Cet après-midi, j’ai eu le petit privilège de parcourir quelques dizaines de kilomètres au volant d’une Volkswagen Golf R. Je reviendrai un peu plus tard sur le caractère exceptionnel de cette version de la voiture la plus vendue en Europe… Ce qui m’a frappé aujourd’hui, c’est qu’un tel modèle permet de partager une passion commune.

    Au cours de ces dernières années, j’ai pu faire l’expérience de l’esprit qui peut animer certaines communautés automobiles. A bord de 2CV, de Twizy, de Gordini, on se salue… Et bien, au volant d’une Volkswagen Golf R, les signes de sympathie sont aussi nombreux !

    Petite portion d’autoroute, les restrictions actuelles imposent de rouler au ralenti… Une Golf GTI de cinquième génération pointe le capot. Au moment de dépasser la Golf R, son conducteur fait un geste élégant avec un grand sourire.

    volkswagen-golf-r-logo

    Un peu plus loin, un motard s’offre quelques centaines de mètres à mes côtés. Une nouvelle fois, des grands signes d’approbation.

    Cette Volkswagen Golf R n’est peut-être qu’une Golf, semblable à n’importe quelle autre des 520 000 Golf vendues en Europe en 2014… Mais c’est une R, les passionnés le savent et partagent le bonheur de la voiture rouler.

    Quel plaisir !

  • Publicité : smart se moque de Twingo

    Publicité : smart se moque de Twingo

    On a beau avoir travaillé de concert, on reste rivaux lorsqu’il s’agit de conquérir une nouvelle clientèle ! Daimler le rappelle à Renault dans sa nouvelle campagne digitale.

    Développées en commun, les Renault Twingo, smart fortwo et smart forfour partagent une architecture modulaire. Les trois modèles sont similaires à l’avant et à l’arrière. La partie centrale est évidemment exclusive pour l’auto la plus différence, la petite fortwo. Et même s’il y a un très fort niveau de commonalité, les deux marques se différencient largement au niveau des pièces visibles voir ici. 95 % des éléments sont différents.

    La campagne de publicité est aussi bien éloignée. Pour marquer son principal atout : une longueur de 2,69 mètres, la smart fortwo se moque de ses « rivales ». Volkswagen Up, FIAT 500, MINI, Peugeot 108 et même la cousine Twingo.

    Et si Renault répliquait ?

  • Top Gear France en direct avec Le Tone

    Top Gear France en direct avec Le Tone

    Pour le cinquième épisode de Top Gear France, nous sommes dans les bureaux de RMC Découverte avec Le Tone… Suivons ses réactions durant la diffusion !

    Début de l’émission : « J’ai ma veste à carreau, elle me boudine un peu. »

    Au sujet des spectateurs sur les plateaux : « Les gens étaient vraiment gentils, ils criaient tout le temps ! »

    Le Tone n’a pas regardé les trois premiers épisodes… Il a suivi la diffusion du quatrième tout en disant qu’il avait beaucoup de mal à se voir à la télévision.

    Covoiturage avec les hockeyeurs : « Ils ont été vraiment relous ! »

    Pourquoi Le Tone était-il le seul à avoir du monde dans sa voiture ? « C’est un coup de la production, ils boivent la veille ! »

    « Qu’est-ce que je suis viril quand je cours ! »

    Le Tone garde un petit sourire quand il regarde l’émission.

    La raclette dans la voiture : « Elle est branchée sur l’allume-cigare ! »

    « Les harengs ont pué durant deux jours dans ma voiture… La raclette, ça part vite. »

    « Pendant que je regarde la carte, il dégonfle un pneu ! »

    A propos des tournages : « une vingtaine de personnes travaillent autour de nous. »

    Lequel des deux autres animateurs préfères-tu ? « Pour rouler Philippe… Mais pour dormir Bruce. »

    Quand ils chantent : « C’est pas vrai ! Ils l’ont mis au montage ! »

    Beaucoup de choses sautent au montage ? « Beaucoup. On fait des conneries toute la journée. Ils ne prennent que les meilleures… Ou les pires ! »

    Et la Mercedes Classe G ? « Le moteur est bon, mais elle ne tourne pas. C’est trop lourd ! »

    Pourquoi le surnom Le Tone ? « ça vient des vieux postes de radio. »

    Une saison 2 à venir ? « On en sait rien pour l’instant. »

    La blague sur la Volvo : « C’est nul Ouhhh ! »

    « La Rolls, c’est comme faire l’amour avec une capote, tu ne sens rien du tout ! »

    Je peux vous dire qu’aujourd’hui Le Tone sait dire parfaitement « Wraith ».

    Toujours sur la Rolls-Royce : « J’aime la porte automatique et le ciel de toit. Mais je déteste le GPS et la hifi, l’iconographie est moche. »

    « J’ai la liste des specs de la voiture et j’improvise. On savait qu’il y avait des chances de s’embourber. On y est allés ! »

    Et vous vous êtes échangés vos femmes entre animateurs ? « Non, pas encore ! »

    Torres comme le footballeur ? « Je suis vraiment un blaireau parfois ! »

    On a tourné sept épisodes en tout et dix avec les best of.

    « Sur la terre, j’ai vraiment roulé à 160 km/h. Mais je pense qu’on pouvait casser quelques arbres avant de se faire mal avec la Wraith. »

    Il avoue : « Ce n’était pas du Champagne, juste du mousseux. »

    Panne de la Rolls-Royce : « Elle est vraiment tombée en panne. Elle s’est mise à 45 km/h et tout déconnait ! C’est abusé grave. »

    Retour en plateau : « Bruce, parfois il est bon ! »

    Quel est l’invité qui t’a le plus marqué ? « Aucun, j’allais faire la sieste ! Mais j’ai diné avec Solo et Le Bolloc’h, je me suis vraiment marré. Fillon était marquant quand il est sorti de la voiture avec sa propre combinaison. »

    Au sujet du circuit Top Gear France : « On a fini le dessin du circuit deux heures avant le tournage. Le problème, c’est que si on tape les pneus, on détruit la caisse. La chicane est assez chaude. »

    Retour à la montagne : « Le coup du flic, c’était complètement fake ! »

    « Il faut que j’arrête de dire j’ai peur, ils vont le croire. »

    « Cette scène est la plus dangereuse de la saison. Philippe s’arrête au milieu de la piste. Je freine sur cent mètres et je m’arrête à rien. J’ai cru que j’allais le stricker ! »

    « Et ça, c’est ma scène préférée de Top Gear avec le Sprint Car. »

    « A l’arrivée, je pensais m’arrêter devant Bruce en dérapage. Et ça n’a pas marché. Il m’a dit après qu’il avait eu peur ! »

    « Je découvre l’émission en même temps que les téléspectateurs. On ne voit rien entre le tournage et la diffusion. »

    « On a tourné jusqu’en fin février. »

    « Top Gear est une licence… C’est comme les McDo, la sauce est la même en Hongrie. »

    « Mon père avait une Renault 18 Break. Le concessionnaire lui avait prêté une Fuego. Je la conduisais par l’arrière pour faire vaisseau spacial. »

    « J’aimerais bien essayer une Honda NSX. L’ancienne, pas la nouvelle pour me prendre un coup d’électricité. »

    Au sujet des images floutées : « Philippe se mettait le doigt dans le nez… Il ne fallait pas que ça se voit ! »

    Attention, informations sur les prochains épisodes par Le Tone :

    « J’ai perdu tous mes défis cette saison en fait ! »

    « On a fait cinq tonneaux avec une Lexus. C’était un accident bête de tournage. Mais ça ne passera pas à la télé. »

  • Hommage à Rosco P. Coltrane !

    Hommage à Rosco P. Coltrane !

    L’acteur James Best vient de nous quitter à l’âge de 88 ans. Durant six ans, il avait joué Rosco P. Coltrane dans la série Shérif, fais moi peur après avoir fait une belle carrière dans des westerns.

    Pendant toutes ces années, il avait enchainé les poursuites derrière le Dodge Charger « General Lee » de Bo et Luke Duke. Là, voici en dernier hommage !

  • Essai Renault Twingo : Tourne, tourne petit moulin

    Essai Renault Twingo : Tourne, tourne petit moulin

    Boulogne-Billancourt, les travaux, des coups de klaxon. L’envie de s’échapper, de rouler. Mais il faut s’extirper de ce capharnaüm. Bonheur, la Twingo mesure moins de 3,6 mètres et tourne sur elle-même.

    Douchés par les réactions suscitées par la Twingo de deuxième génération, les responsables de Renault avaient promis une révolution pour 2014. Cette révolution a bien eu lieu. En conservant le nom Twingo, cette nouvelle édition est destinée à être la descendante directe de la version 1993.

    renault-twingo-1994

    A l’époque, Twingo était une idée folle. Encore une voiture « qui ne marchera jamais »… Et pourtant, une bouille et une inspiration ont suffit à convaincre : des phares en demi cercle, une entrée d’air sur le minuscule capot, un unique et immense essuie-glace, trois portes, un seul moteur, une seule finition et de la couleur. Immense succès que n’avaient pas vu venir les journalistes européens, incapables de la placer sur le podium de la Voiture de l’Année !

    Qu’importe, la Twingo s’est vendue à 2,5 millions d’exemplaires. Vingt ans plus tard, elle est déjà entrée dans l’histoire de l’automobile française.

    Après une expérience quelconque dans la Twingo 2 (j’en ai une !), il fallait que Renault retrouve un rang d’inventeur. Cette nouvelle génération ne va pas révolutionner l’industrie. Mais elle est la digne descendante de la première du nom.

    Propulsion à moteur arrière, une première depuis la Clio V6 !

    Développée en collaboration avec Daimler, cette nouvelle Twingo est une propulsion à moteur arrière. Et si vous imaginez que ces choix techniques sont des excitations d’ingénieurs qui n’apportent rien à l’utilisateur final, attendez de vous installer dans une Twingo.

    Dans la conduite citadine de tous les jours, il est évident qu’une propulsion ne diffère pas d’une traction. Le gain est ailleurs. En soulageant le train avant des éléments de transmission, les roues pivotent davantage. Déjà efficace, la Twingo devient une référence. Au moment de sortir d’une circulation dense, c’est plus qu’un atout.

    Il est important de rappeler que ces choix techniques n’amènent pas le moindre danger… La répartition des masses favorise l’avant (55 %) et la direction à démultiplication variable permet de gagner en réactivité et en fermeté.

    Tout semble tellement abouti que l’on ne peut qu’espérer davantage de couple et de puissance. Evidemment, cette Twingo se doit d’être la première voiture de la gamme Renault. Elle se doit de proposer de petits moteurs suffisants et économiques.

    Le 0,9 litre TCe turbocompressé de 90 chevaux est tout à fait suffisant… Il tourne sur ses trois cylindres comme ces petits moulins de nouvelle génération. Mais l’on se prend à rêver d’avoir cinquante, soixante, soixante-dix chevaux supplémentaires. Vite, vite, vite : une version Renault Sport ! Il y a le potentiel de voir naître une icône comme Renault en compte quelques-unes dans son patrimoine.

    L’AUTO est-elle cult ?

    Le nom Twingo est déjà culte… La toute première génération de 1993 l’est aussi. Pour s’inscrire dans une nouvelle lignée, Renault nous doit une version iconique. Soignez donc cette R.S., voire une Trophy pour nous faire revivre les plus belles histoires des Renault plus-que-sportives !

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    J’aime
    Un look affirmé
    Un nom qui fait déjà partie de notre patrimoine
    Une agilité sans pareille

    J’aime moins
    Ce que la première Twingo avait et que l’actuelle n’a plus… La banquette arrière coulissante et un grand espace derrière le volant
    Détails de finition à revoir

    Quelques données :

    Modèle essayé : Renault Twingo SL Edition One Energy TCe 90
    Tarif : 15 800 euros
    Moteur : 3 cylindres en ligne, 12 soupapes, 898 cm3
    Puissance (ch/kW) : 90 / 66 à 5 500 tours/minute
    Couple : 135 Nm à partir de 2 500 tours/minute
    Transmission : roues arrière motrices, boîte de vitesses mécanique à 5 vitesses
    L/l/h (mm) : 3 595 / 1 646 / 1 554
    Poids à vide : 943 kg
    Capacité du coffre (l.) : 219 – 980
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte / essai (l. / 100 km) : 4,9 / 3,9 / 4,3 / 5,0
    Emissions de CO2 : 99 g/km
    0 – 100 km/h (s) : 10,8
    Vitesse maxi : 165 km/h

  • Contact : Nissan Juke Nismo RS

    Contact : Nissan Juke Nismo RS

    Nissan a inventé le nom « Crossover » destiné à décrire l’alliage de deux types de carrosseries… Son Juke est le croisement entre une citadine et un tout-terrain. Avec la version Nismo RS, c’est comme si un copain supplémentaire s’était invité à la soirée !

    Croisons donc une citadine, un tout-terrain et une sportive pour voir naître cette petite voiture décomplexée. Inutile d’en refaire des tonnes sur la ligne du Juke, c’est une exception sur le marché automobile.

    En version Nismo RS, il est abaissé de quelques centimètres et gagne encore en « épaules ». Si le Juke version 2014 avait déjà bien progressé avec des options de personnalisation réussies, ce modèle spécial est encore plus attirant.

    Par ses teintes contrastées, la sortie d’échappement, les étriers de freins rouges, les jantes NISMO RS 18 pouces et le kit aérodynamique, annoncé pour offrir 37 % d’appui supplémentaire, donne une identité encore plus forte au Juke.

    nissan-juke-nismo-rs-arriere

    A l’intérieur, la suédine s’installe un peu partout… Par suédine, entendez que l’on n’utilise pas le terme déposé Alcantara, mais c’est comme si. Un look « carbone » vient légèrement rehausser l’ambiance (et la qualité) de l’habitacle du Juke.

    Sous le capot, on retrouve le DIG-T porté à 214 chevaux avec une boîte de vitesses Xtronic 8 et une transmission à quatre roues motrices All-Mode 4×4-i.

    Et là, c’est un vrai cas de conscience ! Une voiture à tendance sportive peut-elle être d’une linéarité hors du commun ? Sans revenir à l’époque de la Supercinq GT Turbo opposée à la 205 GTi, il faut bien avouer que le choix de la boîte de vitesses – à variation continue – modifie la perception du conducteur.

    Cette nouvelle génération de CVT gomme une grande partie de l’effet élastique qui pouvait rendre la conduite inconfortable. Par rapport à une transmission manuelle, elle est censée être plus efficace, en accélération comme en consommation. Sa linéarité est donc inégalable… Voire déroutante pour une sportive.

    nissan-juke-nismo-rs-avant

    Pour gommer cet effet, le Juke Nismo RS offre un mode manuel qui simule les passages de rapports avec des ratios virtuels prédéfinis, soit par la commande de boîte habituelle, soit par des palettes au volant.

    A bord, l’ambiance visuelle sportive est donc accompagnée de nouvelles sensations par l’unique boîte de vitesses. Certains adoreront cette douceur supérieure à une boîte à double embrayage, d’autres éprouveront un vrai manque… Question de goût !

    Pour les chiffres, les 1 315 kilogrammes passent de 0 à 100 km/h en 8,0 secondes… Pour ceux qui en veulent davantage, la version 2 roues motrices, boîte mécanique et différentiel à glissement limité, est vendue pour 7,0 secondes. Au moins, Nissan offre le choix.

  • McLaren M6 GT : le rêve brisé

    McLaren M6 GT : le rêve brisé

    Dans les années 1960, Bruce McLaren veut être partout. Après être devenu le plus jeune vainqueur d’un Grand Prix de Formule 1 (record qui a tenu jusqu’en 2003 et Fernando Alonso), le Néo-Zélandais suit l’exemple de Jack Brabham et crée sa propre structure baptisée Bruce McLaren Motor Racing Ltd. D’abord engagé en Tasman Series et en CanAm, il se lance en F1 en 1966…

    La même année, il remporte les 24 Heures du Mans pour sa septième participation. Associé à Chris Amon, il s’impose avec une Ford GT40 et dévoile son nouveau projet : participer à la classique mancelle avec sa propre voiture.

    A l’époque, il est beaucoup plus difficile de jouer la victoire au Mans qu’en F1. Car si des assembleurs dominent la F1, ce sont de vrais constructeurs qui s’affrontent pour la victoire aux 24 Heures. Le règlement est donc modelé pour les marques automobiles.

    Pour pouvoir jouer la victoire, Bruce McLaren doit avoir une voiture avec un moteur de plus de 5,0 litres. Il lui faut donc homologuer 25 exemplaires d’un modèle de série.

    Celui qui n’a jamais produit le moindre modèle de route tente un coup de bluff. Il présente une M6 GT conçue sur un châssis M6B CanAm (de course) déjà distribué à 28 exemplaires. Logiquement, les commissaires techniques refusent l’engagement de la McLaren M6 GT.

    Bruce McLaren décide alors de produire et de commercialiser vingt-cinq M6 GT pour obtenir l’autorisation d’être au départ des 24 Heures du Mans. Mais l’atelier McLaren n’a pas la capacité de produire des modèles de série. Bruce confie l’assemblage à Trojan qui ne tient pas les délais. Plusieurs commandes sont annulées.

    Un an après le lancement du projet, seules trois voitures sont construites. Le 2 juin 1970, Bruce teste sa nouvelle M8D CanAm sur le circuit de Goodwood. Le capot arrière se détache à haute vitesse. Il quitte la piste et s’écrase contre un poste de commissaire. Il meurt sur le coup.

    La McLaren M6 GT ne participera jamais aux 24 Heures du Mans. La marque britannique devra attendre 1995 pour aller dans la Sarthe… Et s’imposer dès sa première participation !

  • 4×4 : hommage du 4 avril !

    4×4 : hommage du 4 avril !

    Le 4 avril (4/4), c’est la journée du 4×4 ! Auparavant réservées aux vrais franchisseurs, les quatre roues motrices se sont démocratisées à des véhicules tout-chemin et désormais à un nombre impressionnant de modèles.

    Aujourd’hui, une BMW Série 1 est disponible en quatre roues motrices, tandis que l’imposant Toyota RAV4 et son look si travaillé peut n’être qu’une simple traction… Les 4 roues motrices sont devenus un élément supplémentaire de sécurité active.

    Le 4×4, c’est aussi une façon de vivre !

    Lorsque j’étais au collège, mon prof d’histoire-géographie était un vrai « écolo ». J’entends par écolo, un homme proche de la nature. Il se baladait dans les forêts, reconnaissait chaque plante, chaque arbre et pouvait raconter leur histoire. Pour ses balades loin des routes, il utilisait, le plus simplement du monde, un magnifique Toyota Hilux de cinquième génération… L’un de ces pick-up émettant un bruit aussi persistant qu’une épaisse fumée noire.

    De nos jours, un écolo se balade dans les supermarchés bio en prenant le métro… Une autre vision des interactions avec la nature !

    Le 4×4, ce sont beaucoup d’autres sensations. De la balade loin des sentiers battus ou des franchissements un peu plus sportifs (avec de longs repérages à pied avant de partir en vitesse lente) comme avec la Jeep Academy.

    Alors bonne journée en 4×4…

  • Citation : Jérôme Stoll

    Citation : Jérôme Stoll

    Existe-t-il réellement un antagonisme entre les marques dites généralistes et les marques premium ? Chez Renault, Jérôme Stoll, Directeur Délégué à la Performance, Directeur Commercial Groupe et Président de Renault Sport F1, en semble convaincu : « Aujourd’hui, un client Renault n’est pas prêt à payer plus de 50 000 euros. »

    Partant de ce principe, le nouveau Renault Espace Initiale Paris Energy dCi 160 EDC est commercialisé (hors option) à 47 200 euros…

  • Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Une Peugeot à boire, à manger et à danser !

    Le Peugeot Design Lab aime exercer ses talents parfois loin de l’univers des quatre roues… A quelques jours de la Design Week de Milan et de la prochaine exposition universelle, c’est sur un camion un peu spécial que l’entité artistique du Lion s’est penchée.

    2014 fut l’année de l’explosion du nombre de food truck… L’idée du camion ambulant qui a tant fait pour les petites communes françaises séduit la nouvelle génération urbaine.

    Une quarantaine de personnes ont donc travaillé sur un food truck signé Peugeot. Une base de Boxer et tous les éléments stylistiques du Lion version 2015 ont été intégrés. Quatre mètres sur deux de large en mouvement, il se déplie pour offrir un espace permettant d’accueillir une trentaine de personnes sur treize mètres.

    A l’intérieur, un espace réfrigéré de 400 litres cotoie une armoire de 350 litres pour les boissons, quatre plaques de grillades et une friteuse. La partie avant est une cuisine, l’arrière sert le café et permet à un DJ de s’installer !

    foodtruckpeugeot-boxer

    Le Food Truck Peugeot reste un concept. Il n’est pas destiné à être commercialisé, même s’il est déjà opérationnel (testé !). Mais il montre que Peugeot tient son design avec les phares marqués, la calandre verticale et le logo intégré… Il affiche surtout la volonté de Peugeot d’avancer à travers diverses opérations, avec le Peugeot Design Lab en porte-drapeau.