Catégorie : Constructeurs

  • Vidéo : Logorama

    Vidéo : Logorama

    Oscar du meilleur court métrage en 2010, Logorama détourne trois mille logos dans un film de seize minutes… L’automobile y occupe une place de choix avec l’apparition de quinze marques et beaucoup d’autres entreprises de l’industrie !

    Nous avons trouvé : GMC, Bentley, Aston Martin, Chevrolet, Jaguar, Audi, Volvo GM, BMW, MG, Chrysler, Subaru, Mercedes, Honda, Hummer et Toyota…

    Voici le clip, version courte, de H5, produit par Autour de Minuit.

  • Darwinisme : Ford Mustang

    Darwinisme : Ford Mustang

    Ce 17 avril 1964, la toute première Ford Mustang était présentée lors de la Foire Mondiale de New-York… Depuis, sur cinq générations, la pony car a conservé le cheval au galop sur la calandre et ses trois feux arrière distinctifs.

  • Nouveauté : Maserati Ghibli

    Nouveauté : Maserati Ghibli

    Maserati a présenté les premières photos de la Ghibli qui sera officiellement dévoilée lors du Salon de Shanghai. Cette nouvelle berline quatre portes est destinée à élargir la gamme sous la Quattroporte. Elle sera disponible avec deux 3,0 litres V6 turbo (essence ou diesel) couplées avec une boîte automatique à huit rapports et une transmission aux roues arrière ou intégrale.

  • Vu : Fiat 500 dans les rues de Rome

    Vu : Fiat 500 dans les rues de Rome

    Elles ont toutes plus de quarante ans… Elles sont toutes dans des états assez moyens… Voici quelques exemples rencontrés cette semaine dans les rues de Rome où l’on trouve encore beaucoup de Fiat 500, dont une belle Abarth !

  • Nouveauté : Renault Twin’Z

    Nouveauté : Renault Twin’Z

    Dans le cadre du Salon du Mobilier de Milan à la Triennale, Renault et le designer britannique Ross Lovegrove présentent le concept-car Twin’Z. Il préfigure les lignes de style d’une petite citadine ludique et moderne puisant son inspiration dans l’héritage des modèles emblématiques de l’histoire de la marque, à l’image de la R5 et de Twingo. Twin’Z est doté d’une architecture propulsion à moteur arrière 100% électrique.

  • Nouveauté : Citroën DS Wild Rubis

    Nouveauté : Citroën DS Wild Rubis

    DS3, DS4 et DS5 en concessions… Numéro 9 et désormais Wild Rubis pour les salons, la marque DS continue son développement. A quelques jours du Salon de Shanghai, Citroën présente le futur SUV de sa marque distinctive.

  • Rencontre : BMW i3 Concept Coupé et i8 Concept Spyder

    Rencontre : BMW i3 Concept Coupé et i8 Concept Spyder

    Dans le cadre du BMW i Tour, déjà passé par New-York, Rome et Tokyo, la BMW i3 Concept Coupé et la BMW i8 Concept Spyder sont exposées au Palais de Tokyo jusqu’au dimanche 7 avril.

    Modèles encore conceptuels, les deux i3 et i8 actuellement présentés à Paris ne dévoilent qu’une partie de ce que sera la gamme « i » commercialisée à partir de la fin de l’année.

    A Francfort, l’i3 définitive reprendra les meilleurs éléments des i3 Concept Coupé (présente à Paris) et i3 Concept. BMW annonce une citadine de moins de quatre mètres, dotée de cinq portes à ouverture antagoniste et sans montant central, avec un rayon de braquage inférieur à celui d’une MINI.

    Le Concept présente des options particulièrement marquées. Depuis 2007, BMW cherche de nouvelles solutions dans le cadre d’un « Projet i ». La marque BMW i – dont le périmètre est à rapprocher à celui du M pour la gamme sportive – est née en 2011 avec la volonté de commercialiser les i3 et i8.

    Le groupe motopropulseur a progressé sous plusieurs formes. A partir de la MINI E en 2008, BMW a développé les Concept ActiveE et Megacity Vehicle devenu i3. Durant ces mois, les progrès ont permis au moteur électrique de l’i3 d’afficher la même puissance que celui de la MINI E en étant 40 % moins volumineux. Même démarche dans l’hybridation pour concevoir l’i8.

    Placé juste au-dessus du train arrière de l’i3 Concept Coupé, le moteur électrique développe 125 kW (soit 170 chevaux) avec un couple de 250 Nm au cœur d’un châssis alliant polymères et fibres de carbone. L’i3 Concept Coupé atteint 60 km/h en moins de quatre secondes et 100 km/h en moins de huit secondes.

    Côté autonomie, sur le seul moteur électrique, l’i3 peut couvrir entre 130 et 160 kilomètres. Selon le cycle FTP72, il serait possible de parcourir 225 kilomètres lorsque la batterie lithium-ion – placée sous le plancher – est pleine. En option, il est possible de charger 80 % de cette batterie en moins d’une demi-heure via une Wallbox. Une charge standard est prévue en six heures.

    Trois modes de conduite sont disponibles et modifient la façon dont la voiture réagit aux sollicitations. En CONFORT, toute la puissance est mise à disposition, privilégiant les performances à l’autonomie. Le mode ECO PRO permet d’améliorer la distance parcourue et l’ECO PRO+ minimise les consommations électriques.

    Même s’il n’était pas possible de prendre le volant de ce concept, plusieurs ateliers permettent de comprendre les idées de BMW. Encore plus que dans les autres modèles de la marque, le système Connected Drive permet d’interagir avec sa voiture, à distance via une application mobile, ou en roulant pour surveiller l’autonomie ou trouver une station de recharge.

    L’habitacle s’avère sobre. L’utilisation de matériaux en fibres naturelles marque l’ambiance de cette « i ». Le cuir est traité avec des extraits naturels de feuilles d’oliviers, le revêtement du tableau de bord et des portes est fabriqué en fibres naturelles avec l’ajout de bois d’eucalyptus d’Europe… Si la version commercialisée en fin d’année reprend au moins une partie de ces caractéristiques, elle lancera vraiment une nouvelle génération d’habitacles.

    Point très peu mis en avant par BMW (mais excessivement important à mes yeux), un prolongateur d’autonomie sera proposé en option. Baptisé REx, ce moteur à combustion devrait être un petit deux cylindres, peut-être adapté d’un bloc de moto. De quoi servir de générateur au moteur électrique…

    Face à l’i3 Concept Coupé, l’i8 Concept Spyder parait beaucoup moins commercialisable. Spyder strict deux places, évolution du coupé 2+2 i8 Concept présenté l’an passé, il préfigure ce que sera la sportive hybride haute performance mise sur le marché en 2014. Mêlant un moteur électrique et un moteur à combustion (baptisé eDrive), l’i8 possède la capacité de développer 260 kW (soit 354 chevaux) et 550 Nm.

    Le moteur électrique s’occupe du train avant avec une puissance de 96 kW (131 chevaux) alors que le moteur à combustion, un trois cylindres TwinPower Turbo de 164 kW (223 chevaux), est couplé au train arrière.

    L’autonomie 100 % électrique est annoncée à 30 kilomètres avec 1h45 pour une recharge complète de la batterie lithium-ion. Côté performances, BMW promet des accélérations de 0 à 100 km/h en 5,0 secondes et 250 km/h de vitesse de pointe, bridée électroniquement.

    Dans le cadre de cette exposition BMW i Tour, une partie du niveau inférieur du Palais de Tokyo est « privatisé » mais ouvert gratuitement au public. Sur le toit, le Chef Alain Plassard a créé un jardin potager éphémère… Une façon de mêler une nouvelle génération de véhicules à une image plus écolo, appelant d’autres sens.

  • Rencontre : Alfa Romeo 4C

    Rencontre : Alfa Romeo 4C

    Certaines voitures dégagent quelque chose de particulier. Par sa ligne, l’Alfa Romeo 4C évoque la passion. Sans même entendre le son du moteur de ce prototype « 000 » de la Launch Edition, sans même rouler, ce petit coupé transmet une envie.

    Loin d’une Brera massive et lourde, la 4C s’inscrit dans la lignée de l’extraordinaire 8C Competizione. Monocoque en fibre carbone de 65 kilogrammes, structures avant et arrière en aluminium, carrosserie en matériau composite, la 4C ne pèse que 895 kilogrammes à sec.

    Derrière les deux uniques sièges baquet, le 4 cylindres 1 750 cm3 TBI déjà présent sous d’autres capots Alfa est reconstruit tout en aluminium et porté à 240 chevaux.

    « C’est surtout un véhicule d’image », souligne Sébastien Perrais, Directeur d’Alfa Romeo France. « Cette 4C est le témoignage de l’esprit Alfa Romeo, tant dans le style que dans la technologie. »

    Dévoilée sous forme de concept lors du Salon de Genève 2011, la 4C est rapidement devenue une voiture destinée à porter l’image d’Alfa Romeo. Deux ans et demi plus tard, elle vole ses premiers clients à Lotus et Porsche…

    L’Alfa Romeo 4C débute sa carrière commerciale avec une « Launch Edition » très spécifique. Produite à un millier d’exemplaires, donc 400 pour l’Europe et une soixantaine pour la France, cette version n’est déjà plus disponible.

    Affichée au tarif de 60 000 euros, elle propose de nombreux parements de carbone (phares avant, rétroviseurs, spoiler) et un dessin de jantes particulier. L’intérieur reçoit également un traitement spécial avec une pluie d’équipement.

    A partir de l’année prochaine, l’Alfa Romeo 4C montrera moins de carbone et devrait coûter une dizaine de milliers d’euros de moins. Mais le 0 à 100 km/h sera toujours avalé en 4,5 secondes.

  • Histoire : Alfa Romeo 33 Stradale

    Histoire : Alfa Romeo 33 Stradale

    Bien avant la 8C Competizione de 2007 et la 4C qui sera commercialisée avant la fin de l’année, Alfa Romeo avait déjà ce type de berlinette à son catalogue en 1967 avec la 33 Stradale.

    19 exemplaires en comptant l’unique prototype de la « Stradale » ont été produits. C’est moins de la version compétition, surnommée Daytona, dont la trentaine d’exemplaires a roulé sur les épreuves d’endurance de la fin des années 60.

    La version de route est propulsée par un V8 de 1 995 cm3 à quatre arbres à cames en tête. Il développe 230 chevaux à 8 800 tours/minute. Sa carrosserie en aluminium lui permettait de n’afficher que 700 kilogrammes sur la balance. Vitesse de pointe : 260 km/h.

  • Essai BMW M135i : effet de mode

    Essai BMW M135i : effet de mode

    Mise en garde : un « M » placé dans l’appellation d’une BMW n’est pas synonyme de radicalité. Exemple avec cette M135i qui s’inscrit dans la nouvelle gamme « M Performance ». Il y a bien 320 chevaux sous le capot mais ils sont aussi capables de se faire discrets…

    Le Domaine des Etangs est l’un de ces lieux cachés au « milieu » de la France. Une propriété allongée sur 850 hectares autour d’une seigneurie aux tours fortifiées. Un air de campagne où le soleil patiente une partie de la matinée – laissant  la brume quitter la surface des fameux étangs – avant d’éclairer les bâtisses en pierres sèches transformées en chambres charmantes.

    Dans cet univers où la faune et la flore conservent leur priorité, les échappements de la BMW M135i tentent de se faire discrets. Les larges pneus mènent vers la sortie du domaine. Pas question de déranger l’ambiance tranquille de ces 25 kilomètres de routes privées… Direction le Parc Régional Périgord Limousin. En route !

    Après avoir failli disparaître au lendemain de la seconde guerre mondiale, BMW redevient une marque conquérante avec l’arrivée d’Herbert Quandt, fils du fondateur Günther Quandt. Il remodèle toute la gamme et entame une profonde politique sportive pour en montrer les qualités.

    Les succès de la 1800 Ti incitent BMW à intensifier son engagement. BMW Motorsport apparait en avril 1972. L’équipe gagne en Formule 2 et en Touring Car avec la 3.0 CSL autour d’un slogan marquant : « BMW vit avec les sports mécaniques ».

    La division sportive se voit fixer un nouvel objectif : produire un coupé destiné à être commercialisé. La monstrueuse M1 arrive en 1978. Et une plus conventionnelle M535i suit en 1979. BMW commence à écrire son histoire autour du « M » de Motorsport. Au fil des années, les M5 et 635 CSI (1984) et M3 (1986) sont les fondations de l’actuelle gamme. Désormais, la quasi-totalité des modèles BMW possède sa version radicale « M ».

    En devenant de plus en plus une « marque », M a attiré de nouveaux clients, désireux d’adopter le logo sans forcément vouloir une voiture aussi radicale, ou aussi chère. BMW a donc créé des finitions « M Sport » puis toute une gamme baptisée « M Performance » pour élargir son champ d’action.

    Les premiers modèles à recevoir ce traitement furent les M550d, X5 M50d et X6 M50d, trois modèles équipés du moteur diesel 6 cylindres en ligne TwinPower Turbo de 381 chevaux et 740 Nm… Des inconditionnels se sont étouffés en voyant ce « M » majuscule associé à un « d » minuscule. Mais ils n’étaient pas ciblés. Désormais, c’est le moteur essence six cylindres en ligne TwinPower Turbo de 320 chevaux et  450 Nm qui permet à la Série 1 de devenir M135i !

    Cette BMW M135i possède deux facettes. En quittant le Domaine des Etangs, on roule sur le mode ECO PRO. L’utilisation du moteur est alors optimisée pour réduire la consommation de carburant, jusqu’à 7,5 litres / 100 kilomètres. L’expérience  peut être prolongée sur de plus longs trajets avec le mode COMFORT. Là, l’électronique embarquée s’occupe de la gestion du moteur, de la direction et des lois d’amortissement pour avaler les kilomètres…

    Mais, entre Charente et Haute-Vienne, c’est avec le mode SPORT, voire SPORT + qui bride un peu plus l’effet de l’ESP, que l’on peut apprécier les qualités de la M135i (à prononcer M-une-35-i).

    Pour parler musique, changer de mode c’est passer de Grant Green à Dr. Dre. Même sample mais partition méconnaissable.

    Ligne droite, accélérateur enfoncé à 50 % en COMFORT… On enclenche le mode SPORT. Dans l’instant, le caractère de cette Série 1 est totalement modifié. Le moteur délivre beaucoup plus de couple et la montée en régime est largement plus franche. Sans même bouger le pied de l’accélérateur. La direction, l’amortissement sont durcis.

    Les performances sont au rendez-vous. 320 chevaux à 5 800 tours / minutes et 450 Nm à partir de 1 300 tours / minutes. C’est le fruit de la technologie « M Performance TwinPower Turbo » qui regroupe un turbocompresseur à double entrée, une injection directe, une distribution variable et un calage variable des arbres à cames.

    Le tout est parfaitement servi par une boîte de vitesses automatique à huit rapports (option à 2 350 euros). Développée en collaboration avec ZF, cette transmission « sport » à 8 rapports est un apport indéniable. Elle se mue en commande séquentielle qui sera vite laissée de côté pour profiter des palettes au volant, confortables et réactives. Les rapports montent et descendent sans temps mort et sans le moindre à coup, accompagnés par la musique du 6 cylindres. Le moteur est très vite en action et la puissance arrive avec une très grande linéarité. Les roues arrière poussent très forts au fur et à mesure que l’on approche des 7 000 tours/minute.

    La suspension adaptative se met au diapason. Des capteurs mesurent en continu les données de marche et du profil de la route et pilotent en conséquence les électrovannes des amortisseurs. Combiné à la direction, le comportement change véritablement selon le mode choisi.

    D’un virage à l’autre, la M135i aime l’action. La linéarité du 6 cylindres en ligne conjuguée au châssis, légèrement rigidifié (+ 5 kilogrammes) et abaissé de 10 millimètres par rapport aux autres Série 1, fait presque oublier les 320 chevaux et les vitesses atteintes pour une berline compacte.

    Sur route, l’ensemble est parfaitement équilibré. Ceux qui ont pu l’essayer sur circuit regrettent l’absence d’autobloquant mécanique… Mais l’utilisation n’est plus la même.

    Cette M135i se place entre les finitions « M Sport » et les vraies « M ». Dans cette configuration, la Série 1 est trahie par quelques appendices agressifs. Outre le Hofmeister-Kink plus marqué et les vitres avant sans encadrement de la version 3 portes, les boucliers et les jantes permettent de différencier la M135i d’une Série 1 plus standard. Les gros étriers de freins bleus, quelle que soit la teinte de la carrosserie, la double sortie d’échappement et les jantes 18 pouces sont des signes distinctifs supplémentaires.

    A l’intérieur, l’ambiance BMW est préservée. Quelques signatures « M » avec l’ajout d’aluminium donnent une image un peu différente de l’habitacle des autres modèles. Pour ceux qui voudront se passer de la sonorité du 6 cylindres, l’option Harman Kardon est à recommander : 360 Watts, 12 haut-parleurs contre 520 euros.

    Sur cette version 3 portes, l’accès aux places arrière est facilité par une fonction Easy Entry électrique qui permet d’avancer les sièges avant. En option, il est possible de choisir de n’avoir que deux places à l’arrière.

    L’AUTO est-elle cult ?

    Il faut considérer que cette BMW M135i n’est qu’une « simple » Série 1, avec le design à peine renforcé de la petite BMW et des mensurations de berline compacte. Dans ce cas, l’ensemble procure de géniales sensations grâce à un ensemble moteur – boîte de vitesses de référence.

    Plus puissante que n’importe quel autre Série 1, cette M135i ne trouve aucune équivalence dans la gamme BMW. Pour trouver plus radical, il faudrait craquer pour une Z4, voire une M3. Pour 44 850 euros en version de base, aucune autre berline compacte ne propose autant sur une gamme aussi large.

    Si l’objectif est de conduire une voiture dont la ligne parvient à se cacher dans le trafic tout en bénéficiant d’un tempérament sportif, la BMW M135i est à essayer !

    Sans intérêt / Sans conviction / Dans la moyenne / Mérite le détour / Exceptionnel / AUTOcult !

    Quelques données :
    Moteur : 6 cylindres en ligne 24 soupapes
    Cylindrée : 2 979 cm3
    Puissance : 320 chevaux (235 kW) à 5 800 tours / minute
    Couple : 450 Nm de 1 300 à 4 500 tours / minute
    Transmission : aux roues arrière
    Pneumatiques : 225/40 R18 à l’avant – 245/35 R18 à l’arrière
    L/l/h (mm) : 4 324 / 1 765 / 1 421
    Poids à vide : 1 515 kg
    Capacité du coffre (l.) : 360
    Vitesse maximale : 250 km/h
    0-100 km/h : 4,9 secondes
    Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 10,3 / 5,8 / 7,5
    Emissions de CO2 : 175 g/km

  • Citation : Ferdinand Porsche

    Citation : Ferdinand Porsche

    Citation de Ferdinand Porsche, Allemand, fondateur de Porsche et concepteur de la première Volkswagen : « Personne n’a fait la voiture de mes rêves, alors j’ai dû la faire. »

  • Publicité : l’histoire de la Scuderia Ferrari

    Publicité : l’histoire de la Scuderia Ferrari

    ‘Circuit’ est plus qu’une simple publicité. C’est l’histoire de la Scuderia Ferrari en cinq monoplaces, traversant les rues de Rome, New-York, Rio de Janeiro, Hong-Kong et Monaco. Et c’est l’oeuvre de Shell.