En quinze publicités, voici comment Ford vendait sa Mustang dans les années 1960 aux Etats-Unis… Il n’y a pas qu’un unique public visé. Le propriétaire de Mustang est une personne en pleine réussite. Et surtout, la voiture n’est jamais en mouvement !
Étiquette : Ford
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L’Election de la Sportive de l’Année Echappement a débuté !
Toute la rédaction d’Echappement, accompagnée par François Delecour, est partie aujourd’hui vers le Circuit de Chambley (Meurthe et Moselle) pour procéder à l’Election de la Sportive de l’année Echappement.
Au programme de cette édition 2013 :
Audi S3
Ford Fiesta ST
MINI John Cooper Works GP
Nissan 370Z Nismo
Peugeot 208 GTI
Renault Clio R.S. 200 EDC
Mercedes Classe A 45 AMG
Porsche Cayman S
Seat Ibiza Cupra
Volkswagen Polo RVous voteriez pour laquelle ?
Et pour rappel, voici le palmarès depuis la création en 1982 :
2012 : Subaru BRZ et Toyota GT86
2011 : Porsche 911 GT3 RS 4.0
2010 : Ford Focus RS 500
2009 : Porsche 911 GT3
2008 : Renault Mégane R26.R
2007 : Renault Mégane Renault Sport Renault F1 Team R26
2006 : Lotus Exige S
2005 : Dodge Viper SRT-10
2004 : Mitsubishi Lancer Evo 8
2003 : BMW M3 CSL
2002 : Ford Focus RS
2001 : BMW M3
2000 : Renault Clio Renault Sport 2.0 16V
1999 : Honda S2000
1998 : Honda Integra Type R
1997 : BMW Z3 M
1996 : Renault Sport Spider
1995 : Subaru Impreza GT Turbo
1994 : Fiat Coupé 16V Turbo
1993 : Peugeot 106 Rallye
1992 : Ford Escort Cosworth
1991 : Renault Clio 16s
1990 : Ford Sierra Cosworth 4×4
1989 : Peugeot 309 GTi 16
1988 : Peugeot 205 Rallye
1987 : Lancia Delta HF Integrale
1986 : BMW M3
1985 : Renault 5 GT Turbo
1984 : Peugeot 205 GTi 1.6
1983 : Lancia Delta HF Turbo
1982 : Ford Escort RS 1660i -
Citation : Henry Ford
Citation de Henry Ford, Américain né en 1863, fondateur de Ford : « La course automobile est née cinq minutes après la construction de la deuxième voiture. »
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Essai Ford C-MAX 1.0 EcoBoost 125 : size doesn’t matter
En France, la noblesse n’est plus à la mode. Les crises successives et les gouvernements ont guillotiné les blocs de six ou huit cylindres. Aujourd’hui, le quatre en ligne est la norme. Et bientôt, le downsizing aura raison du marché. Ford en fait un parfait exemple en plaçant un tout petit moteur de trois cylindres dans un gros C-MAX.
4,38 mètres, 3 cylindres, 999 cm3… Un moteur d’une taille à peine réaliste pour une citadine dans un spacieux monospace !
Depuis quelques années, le downsizing est à la mode. Un bien, un mal ? Sur le papier, que du bien !
Un ingénieur au tableau
Un gros moteur (entendons un moteur à forte cylindrée) fait tourner des pièces de masse relativement importante, sur des distances plus grandes. La dépense d’énergie nécessaire pour animer ces éléments en mouvement et lutter contre les frictions pénalise le rendement global.Réduire les tailles et les masses permet d’augmenter ce fameux rendement et, donc, de réduire la consommation de carburant. Cette technique autorise également des réglages plus fins avec une combustion dans de petits volumes. Mais comment atteindre de mêmes niveaux de performances en diminuant toutes les tailles ? Comment ne pas avoir un moteur vide de couple ? Le turbocompresseur et l’injection directe deviennent la norme. Désormais maîtrisés, ils permettent d’appliquer à chaque cylindre un volume de mélange supérieur.
A l’image des énormes progrès réalisés sur les moteurs Diesel ces dernières années, c’est désormais sur les blocs essence qu’il y a un vrai bond en avant.
Yeux fermés, démarreur
Avant même d’entendre ce minuscule moteur, je veux le voir. Capot ouvert, il parait loin, très loin. Si l’habitacle n’était pas si spacieux, je dirais même que c’est un moteur central avant ! Le bloc est placé sous le pare-brise, sur la superficie d’une feuille A4. Et il ne pèse de 97 kilogrammes. Donnée constructeur, vous vous imaginez bien que je n’ai pas tout démonté pour le mettre sur un pèse-personne…Retour dans l’habitacle, démarrage. Un peu de vibrations. Montée des rapports, le moteur grimpe vite dans les tours. On joue beaucoup avec la commande de boîte six vitesses pour accélérer. Quelques kilomètres pour trouver ses marques, la conduite devient plus naturelle. Le moteur possède suffisamment de couple pour ne pas brouter lors de reprises en sous-régime.
Incolore, indolore
Lorsque je teste une voiture récente, je trouve terrible de devoir descendre des rapports pour retrouver un peu de couple en sortie de virage. En conduite normale, je préfère attendre patiemment que le moteur reprenne des tours plutôt que de m’obliger à jouer avec la commande de boîte. Mais certains blocs n’autorisent pas cette paresse. Sous 1 500 tours, rien. C’était le piège que je tendais à ces seuls 3 cylindres.Entre parenthèses, je viens de faire le même petit test avec un vieux quatre cylindres turbo diesel d’une autre marque… Le système « stop & start » s’enclenchait bien trop vite et faisait caler le moteur ! D’accord, s’amuser à aller chercher les plus bas régimes, c’est mal. Mais que le stop & start coupe le moteur, c’est encore plus mal !
Retour dans notre Ford, le couple est présent, les reprises suffisantes. Rien d’extraordinaire. Que de l’ordinaire. Et c’est là qu’est la performance.
Ford vend ce downsizing : un trois cylindres de 999 cm3 aux performances d’un quatre cylindres de 1600 cm3. Les 125 chevaux Ford surclassent les 115 chevaux d’un quatre cylindres 1600 cm3 de la concurrence testé en parallèle, sur tous les plans.
Une qualité, pas de défaut
Suis-je trop positif pour qualifier ce moteur d’ingénieurs qui n’est autre qu’un moteur aux performances normales ? C’est justement parce que sa conception est différente et que les sensations sont rigoureusement celles que l’on attend d’un moteur placé sous le capot avant d’une traction destinée à véhiculer jusqu’à cinq passagers avec leurs bagages que j’ai apprécié ces quelques centaines de kilomètres.Longtemps, j’ai attendu que les moteurs essence (qui devraient être la norme pour les voitures particulières) profitent des mêmes progrès réalisés sur les moteurs Diesel durant ces deux dernières décennies. Enfin, Ford – comme d’autres – parvient à de vrais résultats.
Reste le point crucial de la consommation. Je n’ai pas essayé de battre un record : 6,1 litres / 100 kilomètres de moyenne (Données constructeurs : 5,1 litres / 100 km). Il est donc très possible de passer sous les 6 litres en usage quotidien mêlant voies rapides et parcours urbain. Là encore, l’EcoBoost atteint de bons résultats.
Voilà pourquoi Ford a déjà produit plus de deux millions de moteur de cette famille EcoBoost, au rythme de 100 000 par mois. Et voilà pourquoi ce trois cylindres de 999 cm3 a été élu meilleur moteur de l’année en 2012 et 2013.
Et le reste
L’habitacle est très spacieux, avec des tablettes à l’arrière, et la technologie embarquée est dans la lignée de ce que propose Ford depuis quelques années. Ford est devenu une marque « techno ». Avec la finition Titanium et les différents packs : Freinage automatisé, avertissement de franchissement de ligne réglable, lecture des panneaux de signalisation, détection de somnolence, surveillance des angles morts… Ça bipe et ça clignote partout, j’aime beaucoup. En revanche, l’écran central de 5 pouces s’avère bien trop petit. Le dessin de la planche de bord est très estampillé Ford. Une affaire de goût. Même chose avec le volant dont les repose-pouces sont proéminents à 10h10.Cette AUTO est-elle cult ?
Les réfractaires aux SUV et aux moteurs Diesel y trouveront leur bonheur. Proposé à 29 700 euros options comprises (25 550 euros hors option), le C-MAX EcoBoost est plus abordable que les derniers modèles sortis sur le marché. Un bon choix de père de famille.
Sans intérêt/Sans conviction/Dans la moyenne/ Mérite le détour /Exceptionnel/AUTOcult !Quelques données :
Moteur : essence 3 cylindres en ligne 12 soupapes
Cylindrée : 1,0 litre
Puissance : 125 chevaux
Couple : 170 Nm à 1 500 tours / minute
Transmission : aux roues avant
L/l/h (mm) : 4 380 / 1 858 / 1 626
Poids à vide : 1 391 kg
Capacité du coffre (l.) : 627 / 1 684
Vitesse maximale : 187 km/h
0-100 km/h : 11,4 secondes
Consommations urbain / extra-urbain / mixte (l. / 100 km) : 6,3 / 4,5 / 5,1 (6,1 durant l’essai)
Emissions de CO2 : 117 g/km -
Des timbres célèbrent les légendes mécaniques britanniques
Le 150e anniversaire de la naissance de Sir Henry Royce, fondateur de Rolls-Royce avec Charles Rolls, et le centenaire de la création d’Aston Martin, le Royal Mail a trouvé de bonnes raisons de proposer une collection de timbres dédiée aux « légendes automobiles britanniques ».
Dix timbres, répartis en deux collections, sont disponibles depuis hier dans les bureaux de postes britanniques.
Collection « pur-sang »
Aston Martin DB5
L’icône depuis son apparition dans Goldfinger, le premier épisode de la saga James Bond au cinéma.MG MGB
L’un des roadsters les plus populaires de l’histoire avec plus d’un demi-million de voitures produites.Jaguar Type E
Le modèle qui a marqué l’histoire de Jaguar et même l’histoire de l’automobile.Rolls Royce Silver Shadow
Le symbole de l’élégance et du charme traditionnel britannique.Morgan Plus 8
Apparue en 1968, elle avait déjà un look rétro lors de sa présentation.Lotus Esprit
Seul modèle de la collection à dater des années 70, elle est l’une des plus belles créations de Colin Chapman. Une autre voiture qui a fait son apparition dans un épisode de James Bond.Collection « chevaux de trait »
Morris Minor Van PostEurop
Cinq ans après la citadine, un petit véhicule utilitaire était proposé en 1953. Le Royal Mail l’a utilisé jusqu’aux années 70.Austin FX4
Le fameux Black Cab qui a peuplé Londres durant près de quarante ans.Ford Anglia 105E
La Panda Car des forces de police avec une carrosserie bicolore.Land Rover Defender 110
Le Land Rover original utilisé par l’armée et les services d’urgence britanniques. -
Les hommes : Henry Ford
Il y a 150 ans jour pour jour naissait un bricoleur de génie… D’abord employé de Thomas Edison, il prend rapidement conscience de sa capacité à produire des automobiles et à révolutionner l’industrie.
Ingénieur en chef d’Edison Illuminating Company, Henry Ford ne se passionne pas pour l’électricité et travaille sur le développement de moteurs à explosion. En 1896, il présente son premier Ford Quadricycle à son patron. Edisson est conquis par l’idée de l’automobile.
Trois ans plus tard, Henry Ford donne naissance à ses premières marques : Detroit Automobile Company puis Henry Ford Company, qui deviendra Cadillac. Au début du XXe siècle, il fonde Ford Motor Company. La Ford A ne rencontre pas le succès attendu. Mais des investisseurs soutiennent le projet. Les Ford B et K, plus luxueuses, rendent l’entreprise profitable.
Henry Ford rêve pourtant d’autre chose. Il promet de « construire une automobile pour le plus grand nombre ». La Ford T arrive en 1908. Elle est simple, facile à produire et facile à entretenir.
Au-delà de l’aspect automobile, Ford invente un nouveau modèle d’organisation et de développement de l’entreprise. Ce qui sera appelé le fordisme reprend les idées primaires du taylorisme. Le travail est organisé scientifiquement avec une large standardisation des pièces et un travail à la chaîne résultant d’une division verticale et horizontale.
Le fordisme impose un compromis économique socialement vertueux. Les gains de productivité permettent des augmentations salariales vers le « Five dollars a day », soit deux fois supérieur au salaire moyen de l’époque. La croissance économique qui en résulte permet de soutenir la consommation, donc la production.
Au terme de la première guerre mondiale, la Ford T est un immense succès avec près de 50 % du marché américain.
Très utilisé jusqu’au troisième quart du XXe siècle, le fordisme connait ses détracteurs. En cas de ralentissement de la demande, le processus de création d’emplois s’estompe et la hausse des salaires s’interrompt. Il impose également une perte de qualification du travail ouvrier et freine la diversification de l’entreprise. D’autres théories, comme le toyotisme, ont ensuite pris le relais.
S’il place son fils Edsel à la tête de Ford en 1918, il en garde le contrôle. Durant la crise de 1929, il appuie son idée du capitalisme en refusant la présence des syndicats et le New Deal. A la mort de son fils en 1943, il reprend la présidence à 79 ans avant de laisser les pleins pouvoirs à son petit-fils Henry Ford II. Il meurt en 1947 à Detroit.
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Lecture : Belles des années 80
Quel point commun entre une Citroën BX et une Ferrari Testarossa, une Peugeot 205 et une Lada Niva ? Elles ont marqué les années 80. Les 50 modèles qui ont fait cette décennie sont regroupés dans un ouvrage disponible depuis cette semaine chez L’Autodrome Editions.
L’industrie automobile a pris un virage important durant les années 80. Comme dans d’autres domaines, l’époque a permis l’émancipation de certaines marques, de nouveaux modèles et d’une nouvelle énergie. La prise de pouvoir des citadines, la consécration des GTI, la multiplicité des finitions, des carrosseries et des séries spéciales… Cette décennie a façonné le marché tel que nous le connaissons aujourd’hui. Ayant grandi durant les années 80, j’ai eu envie de partager une sélection de modèles qui, à mes yeux, ont compté. Vous aurez certainement, vous aussi, l’occasion de retrouver des voitures qui auront marqué votre vie dans ce livre.
Disponible dès maintenant en librairies et sur le site du Groupe Hommell.
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Les icones du cinéma
DeLorean DMC-12, Aston Martin DB5… Certains modèles confondent leur histoire avec celui des films dont ils sont la star. Jesus Prudencio a réalisé une collection d’affiches mêlant voiture et cinéma.
Toutes les affiches peuvent être commandées sur ce site !
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Darwinisme : Ford Mustang
Ce 17 avril 1964, la toute première Ford Mustang était présentée lors de la Foire Mondiale de New-York… Depuis, sur cinq générations, la pony car a conservé le cheval au galop sur la calandre et ses trois feux arrière distinctifs.
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Publicité : Tron mode Ford Sierra
En pleine mode de l’aérobic, Ford lance une voiture à l’aéro-look. Quelques mois après l’apparition de Véronique et Davina à la télévision, Ford habille la remplaçante de la Taunus d’une ligne sportive et présente la Sierra.
La familiale se fait aguicheuse avec une silhouette modelée… Et la campagne de publicité tente de rappeler le film Tron, sorti un an plus tôt, en 1982.