A la suite d’un Dakar 2015 aux résultats plutôt moyens puis d’une saison consacrée au développement , Peugeot Sport fait évoluer son buggy 2008 DKR. Erfoud au Maroc, Zaragossa en Espagne, à 100 jours du départ du Dakar 2016, 2008 DKR a fait des kilomètres et semble prêt. On retrouve ici un DKR plus bestiale, moins rond. Mécaniquement, rien de change. Peugeot conserve le moteur Diesel Biturbo V6 d’une cylindrée de 3,2 litres et 24 soupapes, situé en position centrale arrière. Il développe maintenant 350 ch pour un couple de 800 Nm. Plus bestiale, d’où mon titre hasardeux, le buggy 2 roues motrices s’en retrouve, plus long, plus large, pour un comportement bien plus stable. D’autres modifications ont du avoir lieu sur le châssis, la suspension. Mais pour le moment, rien de neuf sous le soleil : Peugeot conserve jalousement ses infos.
Rendez-vous à Buenos Aires début janvier pour le départ du Dakar, puis mi janvier pour son arrivée à Rosario. On prévoit une âpre bataille argentino-bolivienne : MINI, tenant du titre, ne compte pas se laisser faire.
Découvrons le 2008 DKR évolution 2016 en images :
Le nouveau 2008 DKR, lors des essais à Erfoud, MarocLe nouveau 2008 DKR, lors des essais à Zaragossa, Espagne.Le nouveau 2008 DKR, lors des essais à Zaragossa, Espagne.Le nouveau 2008 DKR, lors des essais à Erfoud, MarocLe nouveau 2008 DKR, lors des essais à Erfoud, MarocLe nouveau 2008 DKR, lors des essais à Erfoud, MarocLe nouveau 2008 DKR, lors des essais à Erfoud, Maroc
Années 20. Imaginez une colonne de huit véhicules autochenilles Kegresse, lancée entre l’Algérie et Madagascar. Cette épopée se nomme la Croisière Noire. Soutenue par la présidence de la république française, elle ouvre la route, crée la route entre les colonies françaises. Georges-Marie Haardt, bras droit d’André Citroën prend la tête de cette croisière historique qui s’étalera du 28 octobre 1924 au 26 juin 1925, sur plus de 28000 kilomètres à travers l’Afrique noire.
Cette croisière fut le thème de l’émission Au coeur de l’histoire, sur Europe 1, le 2 septembre dernier. L’historien et journaliste Franck Ferrand nous emmène sur les traces de Haardt, Louis Audouin-Dubreuil son adjoint et quatorze hommes. Durant une heure, il nous raconte, avec son invité le journaliste Marc Menant, les petites histoires de la grande histoire. Un récit passionnant. Podcast disponible ci dessous, via iTunes.
Acte 2 des vacances de papa JC en Italie : à Capri toujours, voici une rare Fiat 1500 Cabriolet et une insolite Marea rallongée : les taxis de Capri.
Si tôt débarqués sur l’île de Capri qu’une chose nous surprend : les voitures y sont interdites. Ou plutôt, celles des touristes, car il n’est pas rare de croiser des voitures, riverains et locaux au volant. Le voyage se fait donc en taxis ou en bus. Les taxis y sont légion et sont quasiment tous des Marea rallongées et recarrossées façon cabrio. Cela donne une style tout particulier, qui permet au taxi driver d’emmener pas moins de 6 clients… et leurs bagages ! (voir photo)
A Capri, on voit aussi quelques Citroën C4 Picasso ou Nissan Serena recarrossés de la même façon que les Marea : elles sont décapotables. Je n’ai malheureusement pas de photo. Bonus, la découverte au coin d’une rue d’une Fiat 1500 recarrossée : elle est rallongée et cabriolet. Deux génération de taxis capresi.
Un peu d’évasion chez AUTOcult.fr. Il est bien rare que nous mettons en avant un service proposé par un tiers. Hormis l’automobile en elle même bien sur. Cette fois, direction le Portugal, ou plutôt sa capitale. Là, l’hôtel Four Seasons Hotel Ritz Lisbon met à la disposition de ses clients un side-car, son chauffeur et un photographe professionnel pour profiter au mieux d’une balade dans un trois-roues d’époque. Durant quatre heures, on peut donc profiter des conseils du photographe, tout en étant guidé et conduit par le pilote local. A nous la course au tram dans les rues étroites et pavées de Lisbonne ou encore, rendez-vous à Belem pour se régaler des célèbres pastéis de nata avec un petit café. Malheureusement, il n’est pas prévu que nous puissions prendre le guidon de ce side-car. Et cela serait presque éliminatoire pour nous. Dommage…
Le mois dernier, le Bleinheim Gang sortait un papier sur le Nissan Judo, étude de style de ce qu’allaient devenir les SUV, ces véhicules globe-trottoir tant appréciés aujourd’hui. Puis, dans un fil de la discussion, venait la Nissan Prairie, puis la Renault Colorale. Une question m’est alors venue, cette Renault Colorale serait-elle le premier SUV français ?
A l’époque, l’objectif de la Régie Renault est de proposer un véhicule nouveau, fonctionnel, utile et pratique. Prévue tout chemin, et ce bien avant les Scenic RX4 et récent Kadjar, la Colorale est un 2 ou 4 roues motrices, rehaussé, facilitant les passages difficiles hors des sentiers battus. Elle est alors disponible en plusieurs carrosseries : le break rural, dit Prairie; le break colonial dit Savane; la Taxi, à 6 places; la fourgonnette tôlée; le pick-up; la plateau-ridelles et la châssis-cabine.
Alors, ce gros break disgracieux est bien trop utilitaire pour le client lambda, et nous sommes là bien loin des Citroën Traction Avant, Citroën DS, bien plus luxueuse et plus fine. Le succès n’est pas au rendez-vous pour cette Colorale. Elle est remplacée en 1956 par la Frégate Domaine, simple break bien moins charmant. Longtemps, la Colorale restera tout de même l’outil parfait des campagnes, des forêts et des artisans. Bon nombre d’entre elles termineront transformées en dépanneuses.
Renault Colorale, transformée en dépanneuse, ici aux 24 heures du Mans.
Pratique, modulable, La Prairie aurait pu être une référence. Peut être trop rustique, elle fut très certainement trop en avance sur son temps. Une habitude chez Renault ?
Renault Prairie, châssis cabine aménagé par un plateau à ridellesRenault Prairie, fascicule d’époqueRenault PrairieRenault PrairieRenault Prairie SavaneRenault Prairie Pick-UpRenault Prairie, fourgon tôlé
C’est en tout cas ce qu’elle essaie de nous faire croire. Depuis 20 ans, Hyundai change. A la fin des années 90, Hyundai tâtait le rallye avec un programme sportif en 2 roues motrices. 2000, l’Accent WRC prenait le relai, mais ne parvenait jamais à se hisser au niveau de la concurrence, très vive à l’époque. 2003, les Coréens se retirent du WRC sans jamais avoir remporté une manche. Il promettent alors un retour pour 2006, qui ne se fera pas. Cette année là, Hyundai annonce, en marge du grand prix de F1 de Corée, l’arrivée de la marque en F1, avec Samsung comme partenaire. Ce projet, ce programme ne verra pas le jour non plus. 2014, la nouvelle i20 est de retour. Voici Hyundai sur le devant de la scène, avec des ambitions revues à la hausse, mais pour le moment, nous ne voyons pas grand changement.
Lancée sur ce programme sportif, Hyundai sort le grand jeu à Francfort avec trois prototypes très sport : i20 WRC 2016, N 2025 Vision Gran Turismo et RM15.
Concernant la i20 WRC, on passe à la cinq portes, après avoir vu une i20 3 portes en 2014 et 2015. On a là une robe inédite et selon les spécialistes du WRC (tel World Rally is Free), cette i20 sauce 2016 semble très proche de la i20 2015 entrevue en essais, qui évolue à chaque séance de roulage. A son volant l’an prochain, nul ne sait dire qui nous retrouverons au départ du Rallye Monte Carlo. Il semblerait que le torchon brûle entre Thierry Neuville et les patrons de Hyundai Motorsport. La i20 2016 en reste tout de même jolie, si on passe au dessus d’une livrée plutôt criarde et un bleu toujours aussi difficile à identifier : bleu ? Gris ? Violet ?
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai Motorsport i20 WRC 2016 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Aussi, à Francfort, la marque coréenne a présenté comme bon nombre de ses concurrents une Vision Gran Turismo, étude de style ayant pour but de représenter la marque dans le futur opus du célèbre jeu vidéo de Polyphony. Ce concept est rejoint par la RM15, qui pourrait être le futur coupé sportif de la marque. Une étude de style intéressante.
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai RM15 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai RM15 révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Hyundai N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
HYUNDAI N 2025 Vision Gran Turismo révélée lors du IAA Frankfurt 2015
Mais les études de style ne suffisent pas et il en faudrait beaucoup plus pour que la marque Hyundai en devienne sportive. Je ne crois pas que nos amis coréens aient réellement cet objectif, mais ils ont en tout cas compris que le sport pouvait aider leur marque à sortir de son trou, à redorer son blason (wink Alex!), un peu comme l’a fait Citroën avec le WRC. Pour cela, la performance et les résultats sont attendus. Le team Hyundai n’a pour le moment qu’une victoire en poche, conquise, il faut le dire, sur la défaite des concurrents et grâce à la fougue de Thierry Neuville plutôt que sur une réelle performance de la i20 WRC. Pour trouver une Coréenne performante, il faudrait surement limiter les pôles décisionnels, découpés entre Alzenau, en Allemagne, siège de Hyundai Motorsport et Seoul, siège de Hyundai Motors, en Corée du Sud. Revoir le staff aussi, peut être. Vu d’ici et selon les échos, la vie parait compliquée du côté du siège allemand.
Après bien des apparitions finement orchestrées par BMW Motorsport sous une robe noire et blanche maquillant ses formes, voici enfin la nouvelle BMW M6 GT3. Basée sur la M6 de série, elle est révélée au public dans sa robe officielle lors du Salon IAA de Francfort, alors qu’elle fut présentée aux équipes et pilotes lors des dernières 24 heures de Spa. Cette M6 GT3 est maintenant le fer de lance de BMW en Grand Tourisme, sprint ou endurance, en remplacement de la prestigieuse Z4 GT3, qui a remporté bien des courses depuis son lancement en 2010.
Cette M6 GT3, aux airs si massifs qu’on dirait une GT1 de la grande époque, est mue par le V8 4.4 litres bi turbo, développant 585 chevaux. Elle fut spécialement développée dans l’objectif d’accroitre au maximum de sa fiabilité, une composante des plus importantes lors des courses de 24 heures, dans lesquelles elle compte bien s’imposer : 24 Heures de Spa, 24 Heures du Nurburgring, 24H Series etc. Nul doute que cette M6 aura sa place sur la première marche des podiums. Messieurs dames, vous êtes prévenus : BMW n’est pas là pour faire de la figuration.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
BMW M6 GT3, révélée lors du Salon IAA de Francfort 2015.
On se rappelle qu’il y a quelques années, la banque Crédit Mutuel ouvrait une agence « sans guichet » dans Lille. Il semblerait que ce phénomène arrive aussi dans l’automobile. Plus une voiture, plus une goutte d’huile, plus de trace de gomme sur le carrelage blanc immaculé. C’est peut être cela qui nous attend dans le futur.
De la quattro aux feux laser via la technologie ultra light, Audi nous a toujours habitué à l’innovation. Cette fois, la marque d’Ingolstadt créé et jette ses points de vente dans le futur, avec l’apparition des showroom virtuels.
A la suite de Londres, Pékin, Berlin, l’un de ces showrooms sera installé dans un des plus beaux quartiers de Paris, au 48 place du Marché Saint Honoré. Sur place, il sera possible de configurer et découvrir tous les modèles de la marque. Cette innovation sera aussi digitale puisque ces configurations virtuelles se feront sur écran géant, en taille réelle.
Malgré cette innovation, il semble que le rapport humain soit toujours nécessaire, des vendeurs seront tout de même disponibles pour nous suivre dans cette expérience. Rassurons nous aussi, ces concessions virtuelles exposeront tout de même quatre modèles de la marque. Dont la très sélective Audi R8. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre.
Au final, on se rend compte ici que le digital se rapproche du commerce, et l’expérience client devient une des composantes les plus importantes de la vente d’un produit, d’un service. L’automobile, elle, a un peu de retard sur la chose… et Audi innove. Bien joué Ingolstadt.
C’est l’histoire d’une fourrière. Imaginez, vous vous garez dans une rue tranquille de Londres, dans le quartier de Abbey Road. La vie se fait, vous vaquez à vos occupations. Dans la rue, sur le passage clouté situé à moins 10 mètres de votre voiture, une séance photo est en cours. On y fait l’une des photos les plus mythiques de l’histoire du rock : la couverture de la pochette de Abbey Road, onzième album des Beatles.
Mais vous me direz, quel est le rapport avec la fourrière ? Pressée par le temps qui court court court, la production de la photo n’a pas le temps d’appeler le service d’enlèvement londonien. On décide de laisser la Coccinelle immatriculée LMW281F à sa place, elle s’en retrouve photographiée sur la pochette de l’album Abbey Road.
S’en découlera de formidables histoires et supputations, s’en développera de nombreuses imaginations en tous genres de la part de Beatlemaniac. Et quand on sait qu’une Coccinelle se dit Beetle en anglais, la boucle sera quasiment bouclée.
D’ailleurs, sur cette pochette, cette Cox n’est pas le seul intrus sur cette pochette. A droite de l’image, juste à côté du van noir, on voit Paul Cole, touriste américain présent par hasard dans cette rue de Londres, le jour du shooting. Une belle histoire à découvrir ici ;-)
Pour en revenir à la maintenant célèbre LMW281F, elle eut une belle vie après Abbey Road : elle est rachetée en 1986 par un collectionneur américain. Autostadt, le parc des loisirs automobiles de Volkswagen, la rachète en 1998 pour l’exposer dans son musée. Elle y coule aujourd’hui des jours heureux… La fourrière n’aura pas eu raison d’elle.
Lors de la rédaction de l’article consacré à la Fiat 500 Giardiniera, je me suis posé la question de savoir à quoi correspondaient les lettres présentes sur la plaque d’immatriculation de cette belle Italienne. Il s’agit là d’un système commun à nos départements, sauf qu’en Italie, ces lettres sont les diminutifs de villes.
Ces lettres sont apparues le 28 février 1927, lors de la création du « nouveau » code de la route italien. Elles disparaissent en 1994, pour revenir en 1999. Sur les plaques d’immatriculation les plus récentes, ces lettres -qui sont aujourd’hui facultatives- sont situées dans un bandeau bleu, sur la droite de la plaque. Une exception réside tout de même : Rome, diminutif RM, peut être écrite en toute lettre : ROMA.
Sur la photo illustrant cet article, on voit PZ en début de plaque. Cette Fiat 500 est donc immatriculée à Potenza, en Italie du sud.
Liste des villes et diminutifs :
Agrigente – AG
Alexandrie – AL
Ancône – AN
Aoste – AO
Apuania – AU
L’Aquila – AQ
Arezzo – AR
Ascoli – Piceno – AP
Asti – AT
Avellino – AV
Bari – BA
Belluno – BL
Bénévent – BN
Bergame – BG
Bielle – BI
Bologne – BO
Bolzano – BZ
Brescia – BS
Brindisi – BR
Cagliari – CA
Caltanissetta – CL
Campobasso – CB
Caserte – CE
Catane – CT
Catanzaro – CZ
Chieti – CH
Côme – CO
Cosenza – CS
Crémone – CR
Crotone – KR
Coni – CN
Enna – EN
Ferrare – FE
Florence – FI
Foggia – FG
Forlì-Cesena – FC
Frosinone – FR
Gênes – GE
Gorizia – GO
Grosseto – GR
Imperia – IM
Isernia – IS
Latina – LT
Lecce – LE
Lecco – LC
Littoria – LT
Livourne – LI
Lodi – LO –
Lucques – LU
Macerata – MC
Mantoue – MN
Massa Carrara – MS
Matera – MT
Messina – ME
Milan – MI
Modène – MO
Naples – NA
Novare – NO
Nuoro – NU
Oristano – OR
Padoue – PD
Palerme – PA
Parme – PR
Pavie – PV
Pérouse – PG
Pesaro-Urbino
Pescara – PE
Plaisance – PC
Pise – PI
Pistoia – PT
Pordenone – PN
Potenza – PZ
Prato – PO
Ragusa – RG
Ravenne – RA
Reggio de Calabre – RC
Reggio d’Émilie – RE
Rieti – RI
Rimini – RN
Rome – ROMA ou RM
Rovigo – RO
Salerne – SA
Sassari – SS
Savone – SV
Sienne – SI
Syracuse – SR
Sondrio – SO
La Spezia – SP
Tarente – TA
Teramo – TE
Terni – TR
Turin – TO
Trapani – TP
Trente – TN
Trévise – TV
Trieste – TS
Udine – UD
Varèse – VA
Venise – VE
Verbano-Cusio-Ossola – VB
Verceil – VC
Vérone – VR
Vibo Valentia – VV
Vicence – VI
Viterbe – VT
A la suite des Alpine Celebration révélées lors des 24 Heures du Mans, puis lors du Goodwood Festival of Speed, la marque bleue continue ses révélations, avec une nouvelle Celebration. Cette fois, on change de thème. La première des Celebration était un hommage aux 60 ans de la marque, le deuxième était un clin d’oeil au style britannique, au sport auto d’outre manche, portant les couleurs du Lord March, propriétaire du domaine de Goodwood et organisateur du festival du même nom.
Pour les festivités du 60ème anniversaire organisées à Dieppe, Alpine donc sort un nouvelle robe pour sa Celebration. On découvre ainsi une Alpine aux couleurs rappelant celles des Alpine Renault A110 engagées lors du Championnat du Monde des Rallyes 1973 et 1974. Le toit est rouge, les portes d’un dégradé de lignes blanches rappellent l’ancien losange de la Régie.
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Nelson Panciatici, pilote Alpine au volant de l’Alpine Celebration, soixantenaire de la marque 1955 2015, Dieppe
Alpine Celebration 60 ans Dieppe
Les quatre Alpine Renault A110 alignées sur le parc fermé du rallye Tour de Corse 1973. Le lien avec la Celebration révélée ce weekend est direct.
Cette hommage « rallye » à Dieppe n’a pas été choisi par hasard. C’est dans cette commune de Normandie qu’étaient construites les Alpine tout d’abord mais aussi là qu’elles étaient préparées dans l’objectif de disputer le Championnat du Monde des Rallyes.
1973, Alpine remporte pas moins de six manches sur les treize disputées. Andruet enlève le Rallye Monte Carlo, Nicolas le Tour de Corse, Darniche le Maroc et Thérier remportent le Portugal, l’Acropole et le Sanremo. Ces quatre là, on les appelle les 4 mousquetaires. Ils règnent sur le WRC 1973 sans partage. Ensemble, ils remportent le Championnat du Monde des Rallyes 1973, premier du nom.
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – Tour de Corse 1973
Alpine Renault A110 1800 – Jean-Luc Therier : Marcel Callawaert – Tour de Corse 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – RAC Rally 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas – RAC Rally 1973
Alpine Renault A110 – Darniche – Rallye du Maroc 1973
Alpine Renault A110 – Bernard Darniche : Alain Mahe- Rallye du Maroc 1973
Alpine Renault A110 – Jean-Pierre Nicolas : Michel Vial – Austrian Alpine Rally 1973
Alpine Renault A110 – Bernard Darniche : Alain Mahe – Rallye du Maroc 1973
Photo : Vincent Capillaire. DPPI. Renault Media. DR. Sylvain Demeyer.
C’est toujours pratique d’avoir un papa ayant la même passion que soi. Cette fois, il m’a ramené quelques clichés de Capri, où il a photographié trois Fiat un peu spéciales, que nous découvrirons en trois articles.
Le premier des articles concerne la Fiat 500 Giardiniera, elle est ici photographiée sur le port de Capri.
Cette Giardiniera n’est ni plus ni moins que la version break de la célébrissime Fiat 500. Elle est produite de 1960 à 1977, à la fois par Fiat et Autobianchi. 327 000 exemplaires voient le jour dans les usines de Mirafiori et Desio (Italie).
Avec sa carrosserie break, elle est facilement reconnaissable des autres 500. Son moteur ne change pas de place : il reste au niveaux des roues arrières, auxquelles il fournit la motricité. Bien que petit, ce moulin à essence, d’une cylindrée de 499,5 cm³ suffit à mouvoir les 555 kg de la belle Italienne, à une vitesse maximale de 95 km/h.
Originalité, ce break est un trois portes. On imagine les talents de contorsionniste nécessaire pour monter dans cette 500 un peu spéciale. Mais cela illustre tout à fait le charme de nos anciennes…