Catégorie : Constructeurs

  • Et le nouveau nom de Renault Laguna est…

    Et le nouveau nom de Renault Laguna est…

    Talisman ! Renault vient d’annoncer que la remplaçante de la Laguna sera baptisée Talisman… Que nous apprend le film que Renault a transmis au moment de la révélation du nom Talisman ?

    Talisman est le nom utilisé par Renault pour son haut de gamme vendu en Chine depuis 2012 sous la forme d’une Renault Samsung SM7 rebadgée (en fait une Latitude allongée).

    Renault commercialise déjà une "Talisman" en Chine.
    Renault commercialise déjà une « Talisman » en Chine.

    Talisman est aussi le nom d’un concept-car dévoilé au Salon de Francfort 2001 : un coupé quatre places à deux portes papillon et moteur V8.

    renault-talisman-2001

    Donc que nous apprend la vidéo ?
    – Un mélange de matériaux dans l’habitacle avec du plastique, du cuir et du bois,
    – Une idée de montée en gamme car Talisman doit se placer entre les anciennes Laguna et Latitude,
    – La présence d’un toit ouvrant, d’un capot, de phares, de jantes et du logo Renault (!)
    – Et si les images sont tirées d’un roulage en Talisman, elle entre bien vite dans les virages, donc sans doute équipée du 4Control ;)

    Rendez-vous lundi prochain pour le reste des infos (les vraies).

  • Plus jamais la DS !

    Plus jamais la DS !

    En 2005, Citroën célébrait le cinquantième anniversaire de sa DS. A l’occasion de ce jubilé, la marque avait envahi la Cité des Sciences et de l’Industrie… Le jour de l’inauguration, le Directeur Général d’Automobiles Citroën avait lâché : « On ne refera jamais une DS ! »

    Pour le cinquantième anniversaire, il avait été question de revenir au Grand Palais, là où le public avait pu découvrir celle qui fut la voiture la plus importante du XXe siècle, le 6 octobre 1955. Mais l’idée n’avait pas abouti. Citroën s’était alors tourné vers la Cité des Sciences de La Villette pour rendre hommage à cette voiture d’exception.

    Exposition de la voiture, mais aussi projet pédagogique, Citroën avait réalisé un parcours initiatique autour de DS 19, DS 23 Pallas et d’un break DS 20 pour présenter le design, de DS 21 Prestige, du cabriolet DS 19 et d’une maquette de PR1 (la voiture du Général de Gaulle) pour l’aspect sociologique, et de la DS 21 Coupé Groupe 5 de Bjorn Waldegaard pour la compétition. Deux autres voitures, sans portes et écorchée, permettaient d’apercevoir la technique révolutionnaire de la DS.

    essai citroen ds 21 1972 - 08

    Le jour de l’inauguration, Claude Satinet, alors Directeur général d’Automobiles Citroën, avait pu rendre hommage à la DS et à ses concepteurs… Une partie du discours servait aussi la cause de la C6, haut de gamme de l’époque. Une réflexion peut désormais amuser les foules au milieu de son texte…

    Claude Satinet : « On ne refera jamais une DS, car notre époque ne peut plus économiquement parlant concevoir, produire et vendre d’automobiles autant en avance sur leur temps. »

    L’idée est évidente… Mais le nom a pourtant bien été repris et s’est émancipé.

    La Citroën DS a parfois été présentée comme un gouffre financier pour la marque, malgré ses 1 455 746 exemplaires produits. Elle a pourtant porté l’image du double chevron durant des décennies et elle reste, en 2015, une référence pour bon nombre de concepteurs. Gouffre financier ? Non, investissements !

  • La Ford Mustang volante

    La Ford Mustang volante

    Beaucoup ont rêvé de faire voler les voitures… Certains ont réussi : voici l’exemple d’une automobile volante, qui n’a jamais quitté le sol ! Et quoi de mieux que de faire ça avec une Ford Mustang ?

  • Gagnez la réplique du casque de Nicolas Prost !

    Gagnez la réplique du casque de Nicolas Prost !

    Pour célébrer le titre de l’écurie e.dams Renault en FIA Formula E à l’issue du premier ePrix de Londres disputé cet après-midi, AUTOcult.fr vous offre la réplique du casque de Nicolas Prost !

    Créé par Spark, ce casque miniature reprend la forme et les couleurs du casque que Nicolas Prost, le fils d’Alain, porte lors des courses de FIA Formula E.

    Pour gagner gagner ce cadeau exceptionnel, répondez simplement à la question suivante !

    Jouez avant le vendredi 10 juillet !

  • Essai Renault Twizy : quadricycle à plaisir

    Essai Renault Twizy : quadricycle à plaisir

    L’automobile – je compte ses dérivés – doit être un plaisir. Moyen de locomotion ou objet de désir, elle doit évoquer une envie de rouler et provoquer des émotions. Et inutile d’afficher une puissance démesurée ou des tarifs exorbitants : un simple quadricycle à moteur comme le Renault Twizy offre tout ce qu’il faut pour s’amuser !

    Certains m’ont vu jouer avec un magnifique Twizy aux couleurs de l’Alpine A450b n°36 engagée aux 24 Heures du Mans lors de la diffusion de Turbo sur M6 le 21 juin, j’ai à nouveau eu l’occasion de multiplier les pitreries dans le Bois de Boulogne avec la version Cargo de cet étrange crapaud électrique.

    Evidemment, ça n’accélère pas très fort, ça freine plutôt long, ça tape un peu de partout et c’est excessivement cher quand on n’en a pas une utilité significative… Et pourtant, c’est juste jouissif.

    renault-twizy-portes

    Dans la rue, au mois de juin à Paris, tout est facile. Le Twizy est suffisamment étroit et réactif pour se faufiler dans une circulation plutôt fluide. Au cœur du Bois de Boulogne, ça devient un petit jouet.

    Tandis que tout le monde était occupé à préparer Solidays en ce début d’après-midi de vendredi, j’ai pu m’inviter – comme un grand délinquant de la route – sur des pistes cyclables désertées.

    Un petit trottoir et des rondins de bois disposés pour éviter l’envahissement automobile sont devenus une invitation à transgresser les règles. Esseulé avec mon nouveau jouet, j’ai roulé dans un sens et dans l’autre, bras au vent, le long du Lac Inférieur.

     

    Et puis, la bêtise ! Le long de ce chemin réservé aux cycles (rappelons que je pilote un quadricycle), une belle étendue, parfaitement plate, de sable fin sur un revêtement dur. Vous me suivez ?

    Roues braquées vers la gauche, accélérateur enfoncé au maximum… 360°, 720°. Pardon, j’ai honte, mais j’ai aimé ça.

    Retour par le périphérique… Le périphérique, un vendredi après-midi à 15h30 ? Personne sur les quatre voies ! Sans doute aidé par un accident en amont (ou une émeute orchestrée par nos amis taxis à Porte Maillot), j’ai encore aimé cette expérience. C’est quand même assez bruyant dans les tunnels et il faut garder l’œil sur le compteur pour éviter de passer les 70 km/h fatidiques.

    Ah, si seulement j’avais l’utilité d’un tel jouet !

  • Alpine se révèle à nouveau au Goodwood FOS

    Alpine se révèle à nouveau au Goodwood FOS

    Souvenez-vous, au Mans, lorsque Alpine révélait sa Celebration. Et bien la marque bleue remet ça, ce weekend, lors du Goodwood Festival of Speed. Cette fois, exit les stickers oranges massifs tout droit issus d’un département marketing en manque d’inspiration et de goût. On trouve ici des lignes claires, pures, d’un bleu immaculé. La filiation avec l’A110 est débordante. Seul un panneau de numéro est présent sur le capot et les portes, avec le numéro 60. Clin d’œil au soixantenaire Alpine.

    Pour la petite histoire, Lord March prit le volant de la Celebration à Goodwood. Le Lord March n’est plus ni moins que le propriétaire du domaine de Goodwood et fondateur du Festival of Speed en 1993. Bien joué Alpine.

          

    alpine celebration goodwood 2015 - 08

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015

    alpine celebration goodwood 2015 - 08

    alpine celebration goodwood 2015

    Photos : Renault Group, Renault Sport F1, Goodwood Festival of Speed.

  • Mercedes passe sur le toit

    Mercedes passe sur le toit

    Ce fut un radical changement de direction… Mercedes-Benz, marque habituée aux grandes berlines et aux puissants coupés, se lance à l’assaut du marché des citadines. Et termine sur le toit !

    En 1997, Mercedes présente sa petite Classe A. Petite avec ses 3,57 mètres de longueur, à peine plus qu’une Twingo contemporaine, mais aussi large et haute que la Renault Mégane Scenic. Les codes stylistiques de l’Etoile sont visibles, mais la forme dénote dans la gamme allemande.

    L’habitabilité est remarquable, mais le tableau de bord trop plastique est largement critiqué par la presse. Qu’importe, le logo placé fièrement sur la calandre doit assurer son succès, même en traction avant.

    Le Suède, puis le Royaume-Uni à l’épreuve

    Lors des premiers essais, un journaliste du magazine suédois Teknikens Värld met en évidence que la Classe A pouvait se mettre sur deux roues, voire partir en tonneau, lors d’un changement brutal de trajectoire à plus de 60 km/h avec une voiture à pleine charge et sur un revêtement très adhérent. Le Suédois est donc passé sur le toit en avril et un Britannique a récidivé en octobre 1997.

    Avec cinq personnes à bord et 75 kg de bagages, il s’est lancé sur ce test révélateur… Pour s’immobiliser les quatre roues en l’air. Personne n’a été blessé. Personne hormis Mercedes.

    Les médias de l’époque se sont amusés (ou horrifiés) de la situation en rappelant que même une Trabant passait ce test. Et le tout nouvel Internet commençait à se régaler de la situation.

    Mercedes a d’abord minimisé l’événement, affirmé que toutes les voitures auraient raté cet exercice. Les échos restaient très négatifs. Goodyear, partenaire pneumatiques, a été montré du doigt… Mais à force de tests, Mercedes a pu se convaincre que sa courte et haute citadine pouvait, dans un cas extrême, ne pas rester sur ses roues.

    Un rappel hors norme orchestré par Mercedes

    Une énorme campagne a donc été lancée. Il a fallu rappeler les 2 600 voitures déjà livrées et prêter d’autres Mercedes à ces premiers acheteurs. En un temps record, il a fallu développer de nouvelles méthodes de tests et surtout une parade.

    Durant douze semaines, la production a été interrompue. Les 100 000 commandes fermes ont été mises en attente. Et la solution fut le développement d’un très coûteux et innovant ESP jusque-là réservé aux prestigieuses Classe S et aux voitures sportives.

    Avec cette nouvelle définition, Robert Collin, le journaliste britannique qui avait renversé la première Classe A, et Niki Lauda ont été mis au défi de faire des tonneaux. Heureusement, la Mercedes est enfin restée sur ses roues.

    Pour soigner sa communication, Mercedes a même joué Tubthumping des Chumbawamba lors des salons suivants : « I get knocked down but I get up again ! »

  • La quasi Renault Sport Le Mans

    La quasi Renault Sport Le Mans

    Il n’existe pas de GT française ! Entre l’extraordinaire Bugatti Veyron et… disons la Peugeot RCZ R, l’hexagone ne produit rien de GT. Plusieurs ont pourtant essayé entre Alpine, Venturi ou RJ Racing.

    RJ Racing est une véritable équipe de course. Prête pour les 24 Heures du Mans et alignée en Série GT FFSA, la petite écurie se lance dans une folle aventure en 1996 : l’homologation et la commercialisation d’une version routière de sa version Grand Tourisme du Renault Spider.

    Car pour faire rouler une voiture dans la catégorie Grand Tourisme, il faut attester d’une version routière équivalente. Au terme de la première saison en compétition, le « Spider V6 » doit recevoir une carte grise très officielle.

    Cette nouvelle GT française prend le nom de Helem, histoire de faire raisonner les initiales de « Le Mans » qui fait encore rêver son créateur Jean-Michel Roy, associé au Britannique Brian Johnson.

    Installé à Téloché, RJ Racing reçoit un gros coup de main de Renault. La première version de cette Helem porte d’ailleurs le nom Renault Sport.

    Des gènes de Spider Renault Sport

    Elle récupère le châssis de la voiture de course, légèrement modifié dans sa partie arrière. Le moteur V6 gavé de deux turbos laisse la place au 3 litres V6 90° PRV turbocompressé par un Garrett T3 avec échangeur air/air repris de l’Alpine A610 Turbo. Contrairement à Venturi, RJ Racing décide de ne pas en modifier les caractéristiques.

    Déjà, à l’époque, les normes de pollution avait privé le prototype du V6 Biturbo de la Safrane.

    helem-v6-contrat

    L’Alpine A610 Turbo avait d’ailleurs été complétement désossée pour monter cette Helem : boîte de vitesses, freins (même si l’ABS est supprimé), système de chauffage, direction assistée… Les autres organes viennent du Spider Renault Sport pour le pare-brise et de la voiture de course pour les liaisons au sol.

    Celle qui avait tout d’une Alpine affichait un rapport poids/puissance à 4,4 (1 100 kg pour 250 chevaux) contre 5,6 pour l’A610 pesant 1 420 kg…

    Et puis Renault a dû redéfinir sa stratégie et Renault Sport a été contraint de se désintéresser du projet. La Helem V6 a donc retrouvé un logo RJ Racing.

    Au fil des mois, la carrosserie a largement évolué. Entre avril et décembre 1997, la silhouette du Spider Renault Sport disparaît pour donner naissance à une identité propre.

    Annoncé à moins de 1 100 kg lors de sa conception, le poids atteint finalement 1 250 kg dans sa version RJ Racing.

    Pour se glisser dans l’habitacle, il fallait ouvrir les petites portes en élytre. A l’intérieur, le pédalier réglable facilite l’installation. Le bloc d’instrumentation est très complet, avec un compte-tours dans l’axe du volant, le manomètre de suralimentation et la température d’eau à gauche, la pression et la température d’huile à droite. Au centre, le compteur à affichage digital est celui de la Twingo !

    La commande de boîte présente la même particularité que celle du Spider avec un verrouillage de marche arrière qui nécessite de tourner le pommeau pour l’enclencher.

    Moteur en marche, la sonorité met en évidence le fonctionnement de la soupape de décharge du turbo… Le souffle s’entend et ceux qui ont eu la chance de l’essayer sur circuit affirme que cette GT était aussi civilisée que possible.

    La fin de l’histoire Helem V6

    Fin 1997, Jean-Michel Roy a déjà investi des millions de francs. Les futurs clients commencent à se montrer (on trouve même les contrats sur leboncoin !), prêts à signer pour posséder cette Helem V6 contre 350 000 francs, là où les Venturi Atlantique 300 et Porsche 911 valaient 150 à 200 000 francs supplémentaires.

    Pourtant, le projet n’a pas abouti. Roy et Johnson ne se sont plus entendus. Le Britannique est rentré chez lui avec les deux voitures de course et Nogaro Technologies, qui avait fait l’étude du Spider pour Renault, a repris les actifs de RJ Racing. L’ensemble servira à construire des Spider F99 de compétition… De nouveaux propriétaires tentèrent de relancer l’idée de produire une voiture homologuée pour la route au début du XXIe siècle, sans succès.

    J’ai d’ailleurs appris à l’occasion de cet article que Fior Concept avait récupéré les droits. Fior Concept avait participé au développement de la Peugeot RC Cup, devenue Diester Racing Cup sur laquelle j’avais travaillé il y a près de dix ans ! Le monde du sport automobile est petit.

  • Clap de fin pour Venturi

    Clap de fin pour Venturi

    La nouvelle est passée discrètement dans le petit monde de l’automobile : Venturi, c’est fini. Suite aux problèmes de santé de son dirigeant monégasque Gildo Pastor, ainsi qu’à un marché automobile électrique de plus en plus concurrentiel avec l’arrivée des grands constructeurs, la marque emblématique Venturi réduit la voilure. Les idées et projets étaient pourtant nombreux, ne serait-ce qu’en électrique, avec les Venturi Fétish, America, Volage, VBB, Astrolab, Eclectic, Eclectic Concept, Antartica…

    Venturi continuera son activité dans la tentative de records de vitesse et la Formula E. Tristesse.

    Dans sa chute, les automobiles Venturi emportent avec elles la marque française de moto Voxan. Venturi avait racheté la marque en 2010, suit à la mise en liquidation judiciaire de celle ci en 2009. Fin 2013, était présentée la Voxan Wattman, moto électrique qui ne verra jamais le jour…

    Gildo Pastor, héritier de la grande famille monégasque Pastor, retombe lui sur ses pattes. Il est bombardé consul de Monaco à New-York. Il continuera à gérer la partie sportive de Venturi depuis la cité américaine.

    Venturi tombe à nouveau… vers l’inconnu.

  • Quelles sont les chances de succès de la nouvelle Giulia ?

    Quelles sont les chances de succès de la nouvelle Giulia ?

    Comment Alfa Romeo a pu survivre aussi longtemps avec une gamme restreinte à seulement deux modèles ? La question mérite d’être posée tant la situation défie le marché… L’arrivée de la 4C a permis de faire oublier que les MiTo et Giulietta commençaient à vieillir. Aujourd’hui, la Giulia doit frapper un très, très grand coup pour sauver la marque et peut-être même le groupe.

    Après des années d’attente, Alfa Romeo sort enfin un nouveau modèle de grande diffusion. Fiat Chrysler Automobiles s’est décidé à replacer la marque milanaise face à BMW…

    Sergio Marchionne a trouvé 5 milliards d’euros pour alimenter son ambition de voir Alfa Romeo vendre 400 000 voitures dès 2018. Pour rappel, les MiTo, Giulietta et 4C ont atteint le record de 68 000 ventes en 2014 !

    La Giulia doit donc lancer un vent de modernité au cœur de la gamme. SUV, coupé, cabriolet et Giulietta suivront rapidement.

    Mais la tâche est énorme pour la Giulia. Présentée aujourd’hui, elle doit donner confiance en externe autant qu’en interne. Les photos qui ont fuité depuis hier soir alimentent pourtant la déception.

    Tandis que les analystes s’attaquent au plan beaucoup trop ambitieux de Sergio Marchionne, les fans regrettent déjà leurs rêves de Giulia à quelques heures de sa présentation. Trop copiée sur une BMW, la berline italienne est même comparée à une vulgaire déclinaison chinoise des réalisations allemandes.

    Si la Giulia ne réussit pas dans son segment, les chances des futurs modèles de la marque seront d’autant moins importantes. Et l’investissement de FCA ressemblera à des pertes. De quoi forcer Sergio Marchionne à intensifier ses recherches pour parvenir à la concentration qu’il réclame depuis longtemps…

    Faîtes donc que la Giulia soit une voiture exceptionnelle et qu’elle se vende !

  • Lexus joue avec nos rêves d’hoverboard

    Lexus joue avec nos rêves d’hoverboard

    Il n’y a pas qu’une Delorean dans Retour vers le Futur… L’hoverboard a aussi marqué l’histoire. Rêvé par les fans du monde entier, ce skateboard sans roue reste l’objet de fantasmes. Du coup, Lexus annonce le développement d’un modèle.

    Historique ? Lexus vient de rendre publique les premières images de son hoverboard en cours de développement.

    Le système repose sur la sustentation magnétique pour effacer la moindre friction entre l’objet et le sol. La marque japonaise communique sur une technologie basé sur des aimants supraconducteurs refroidis par hydrogène liquide.

    Selon ses maigres infos, on peut imaginer que Lexus travaille sur un projet de sustentation électrodynamique pour créer une force de Laplace qui fait léviter un objet.

    lexus-hoverboard

    Mais dans ce cas, les bobines supraconductrices de l’hoverboard auront besoin d’électroaimants placés au sol pour créer un courant induit. Ce système a pour point faible d’être très énergivore. Des trains utilisant cette technologie sont déjà en service en Asie.

    En fin d’année dernière, Tony Hawk avait testé l’hoverboard produit par Hendo. Une grosse machine lourde et lente qui ne fonctionne qu’au dessus d’une plaque en métal et qui coûte près de 8 000 euros…

  • Renault Kadjar sur terre : « Ça ne passera jamais ! »

    Renault Kadjar sur terre : « Ça ne passera jamais ! »

    Ça ne marchera jamais ! contre Ça ne passera jamais ! Sur ce coup là, il faut avouer que la publicité Renault avait bien bousculé les consciences. 4L, R16, R5, F1 Turbo, Espace, Twingo, Scenic : pour le lancement de son Kangoo, Renault mettait en avant les modèles les plus marquants de son histoire face à l’inconscient automobile collectif qui annonçait que ça ne marcherait jamais.

    Alors lors de l’essai du Kadjar, revendiqué comme SUV 4×4, nous nous sommes lancés le défi d’emmener Kadjar hors des sentiers battus. Histoire de voir si ça marcherait ou non, ou plus précisément si ça passerait ou non.

    Résultat : oui, ça passe.

    Alors oui Kadjar est « juste » un SUV, pas question de faire du franchissement, d’aller chercher les Land Rover Defender. Il faut avouer qu’en 4 roues motrices, avec son châssis haut et sa monte pneumatique plutôt classique, le nouvel SUV de chez Renault s’en est bien sorti. Que ce soit sur terre, dans la boue et la (petite) caillasse, nous n’allions pas nous en priver. Et ça passe, Kadjar est un bon petit 4×4. J’aurais juste aimé avoir une garde au sol plus rehaussée.

    La prochaine étape ? L’essai complet du Kadjar.

    PS : avec cet SUV, on a du réseau partout : la Troijar et la Kadjar.

    renault kadjar terre 4x4 SUV 11

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